François Renouf – 1932-2002

Propre liturgique.

* Je veux m’associer modestement à la célébration prochaine de votre jubilé et vous offrir tous mes vœux ainsi que l’assurance de ma prière pour vous et la Congrégation. En guise de cadeau, je vous envoie quelques réflexions sur le Propre de l’Assomption et l’Ordo a.a. Je ne suis pas un spécialiste, mais si cela peut vous servir… Je m’excuse d’avoir été aussi long à répondre à votre demande du début décembre, mais la santé fait des siennes et pour l’instant je ne suis pas encore tout à fait sorti de crises de coliques néphrétiques ; cela met un peu de variété dans la vie, mais enfin je m’en passerai bien. En tous cas, comme le Seigneur a toujours raison, je n’ai qu’à le laisser faire à sa guise. Vous trouverez donc mes remarques sur le Propre a.a. Je me suis permis d’y joindre un travail que j’avais fait l’an dernier justement à ce propos concernant les fêtes assomptionnistes dont nous nous servons ici à Lambersart. Vous excuserez l’imperfection de mon travail et vous prie de croire à l’assurance de mes respectueux et fraternels sentiments +.

François Renouf, Lambersart, vendredi 19 mars 1971.

* Parisien, il connut d’abord les Petites Sœurs de l’Assomption qui venaient soigner sa mère et aider au ménage de la maison. Il n’a que 10 ans lorsqu’il entre à l’alumnat de Soisy-sur-Seine (Seine-et-Oise à l’époque). Son parcours a ensuite été ‘classique’: noviciat aux Essarts, philosophie et théologie à Lormoy, année de pastorale à Lyon. François a très tôt été passionné par la liturgie. On le trouvait, parfois, rigoureux, voire, tatillon. C’est qu’il avait la passion de la beauté : celle de la nature, des bâtiments, du chant, du cérémonial. La plus grande partie de son activité s’est déroulée dans le Nord de la France : professeur à l’alumnat de Lambersart qui devint le Collège Dominique Savio ; animateur puis responsable de pèlerinages à la suite du Père Jarousse. En 1975, à sa grande satisfaction, il est nommé curé de Montmirail où il soignera particulièrement les liturgies paroissiales. Douze ans plus tard, il est nommé aumônier de la maison de retraite des Petites Sœurs de l’Assomption, à Songeons (Oise). Celles-ci sont nombreuses à témoigner de la profondeur de ses méditations au cours de l’Eucharistie. Arrivé à Layrac (Lot-et-Garonne) en février 2002, il trouva rapidement sa place dans la communauté. Sa franchise pouvait parfois indisposer son entourage ; mais c’était un homme de devoir et de prière qui savait aussi être gai +.

Le Père François Renouf est décédé à Layrac le 11 décembre 2002 à l’âge de 70 ans.


* Parisien, il connut d’abord les Petites Sœurs de l’Assomption qui venaient soigner sa mère et aider au ménage de la maison. Il n’a que 10 ans lorsqu’il entre à l’alumnat de Soisy-sur-Seine (Seine-et-Oise à l’époque). Son parcours a ensuite été ‘classique’: noviciat aux Essarts, philosophie et théologie à Lormoy, année de pastorale à Lyon. François a très tôt été passionné par la liturgie. On le trouvait, parfois, rigoureux, voire, tatillon. C’est qu’il avait la passion de la beauté : celle de la nature, des bâtiments, du chant, du cérémonial. La plus grande partie de son activité s’est déroulée dans le Nord de la France : professeur à l’alumnat de Lambersart qui devint le Collège Dominique Savio ; animateur puis responsable de pèlerinages à la suite du Père Jarousse. En 1975, à sa grande satisfaction, il est nommé curé de Montmirail où il soignera particulièrement les liturgies paroissiales. Douze ans plus tard, il est nommé aumônier de la maison de retraite des Petites Sœurs de l’Assomption, à Songeons (Oise). Celles-ci sont nombreuses à témoigner de la profondeur de ses méditations au cours de l’Eucharistie. Arrivé à Layrac (Lot-et-Garonne) en février 2002, il trouva rapidement sa place dans la communauté. Sa franchise pouvait parfois indisposer son entourage ; mais c’était un homme de devoir et de prière qui savait aussi être gai +.

Le Père François Renouf est décédé à Layrac le 11 décembre 2002 à l’âge de 70 ans.


Religieux de la Province de France.

* Parisien, il connut d’abord les Petites Sœurs de l’Assomption qui venaient soigner sa mère et aider au ménage de la maison. Il n’a que 10 ans lorsqu’il entre à l’alumnat de Soisy-sur-Seine (Seine-et-Oise à l’époque). Son parcours a ensuite été ‘classique’: noviciat aux Essarts, philosophie et théologie à Lormoy, année de pastorale à Lyon. François a très tôt été passionné par la liturgie. On le trouvait, parfois, rigoureux, voire, tatillon. C’est qu’il avait la passion de la beauté : celle de la nature, des bâtiments, du chant, du cérémonial. La plus grande partie de son activité s’est déroulée dans le Nord de la France : professeur à l’alumnat de Lambersart qui devint le Collège Dominique Savio ; animateur puis responsable de pèlerinages à la suite du Père Jarousse. En 1975, à sa grande satisfaction, il est nommé curé de Montmirail où il soignera particulièrement les liturgies paroissiales. Douze ans plus tard, il est nommé aumônier de la maison de retraite des Petites Sœurs de l’Assomption, à Songeons (Oise). Celles-ci sont nombreuses à témoigner de la profondeur de ses méditations au cours de l’Eucharistie. Arrivé à Layrac (Lot-et-Garonne) en février 2002, il trouva rapidement sa place dans la communauté. Sa franchise pouvait parfois indisposer son entourage ; mais c’était un homme de devoir et de prière qui savait aussi être gai +.

Le Père François Renouf est décédé à Layrac le 11 décembre 2002 à l’âge de 70 ans.


Religieux de la Province de France.

* Parisien, il connut d’abord les Petites Sœurs de l’Assomption qui venaient soigner sa mère et aider au ménage de la maison. Il n’a que 10 ans lorsqu’il entre à l’alumnat de Soisy-sur-Seine (Seine-et-Oise à l’époque). Son parcours a ensuite été ‘classique’: noviciat aux Essarts, philosophie et théologie à Lormoy, année de pastorale à Lyon. François a très tôt été passionné par la liturgie. On le trouvait, parfois, rigoureux, voire, tatillon. C’est qu’il avait la passion de la beauté : celle de la nature, des bâtiments, du chant, du cérémonial. La plus grande partie de son activité s’est déroulée dans le Nord de la France : professeur à l’alumnat de Lambersart qui devint le Collège Dominique Savio ; animateur puis responsable de pèlerinages à la suite du Père Jarousse. En 1975, à sa grande satisfaction, il est nommé curé de Montmirail où il soignera particulièrement les liturgies paroissiales. Douze ans plus tard, il est nommé aumônier de la maison de retraite des Petites Sœurs de l’Assomption, à Songeons (Oise). Celles-ci sont nombreuses à témoigner de la profondeur de ses méditations au cours de l’Eucharistie. Arrivé à Layrac (Lot-et-Garonne) en février 2002, il trouva rapidement sa place dans la communauté. Sa franchise pouvait parfois indisposer son entourage ; mais c’était un homme de devoir et de prière qui savait aussi être gai +.

Le Père François Renouf est décédé à Layrac le 11 décembre 2002 à l’âge de 70 ans.


Bibliographies