Marie-Alphonse (Alph.-Joseph) Munsch – 1925-2002

Au gré des obédiences, un parcours varié.

Alphonse-Joseph Munsch est né le 20 juillet 1925 à Rosheim, dans le Bas-Rhin. Son père est employé dans les P.T.T., sa mère travaille à la maison. A l’âge de 9 ans, Alphonse perd sa maman. Il fait ses études primaires à Molsheim et entre en 1938 à l’alumnat de Scherwiller (Bas-Rhin), pour une année de grammaire. En 1939, il gagne l’alumnat d’humanités de Miribel-les-Echelles (Isère). C’est en 1943, le 28 septembre, qu’il commence son noviciat à Cavalerie (Prigonrieux, Dordogne) et c’est là qu’il prononce ses premiers vœux, le 22 octobre 1944, sous le nom de Marie-Alphonse. Il commence ses études de philosophie à Cavalerie, pour une année encore. On lui trouve un bon caractère, jovial, légèrement porté à la critique, très dévoué. Quant à l’intelligence, elle est moyenne, mais il travaille un peu en amateur.

Le Père Alphonse s’est éteint paisiblement à Lorgues, le 6 avril 2002, suite à un cancer, supporté courageusement. Ses obsèques sont célébrées le 9 avril suivant. Son corps repose dans le cimetière de la ville de Lorgues.


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Le Père Alphonse s’est éteint paisiblement à Lorgues, le 6 avril 2002, suite à un cancer, supporté courageusement. Ses obsèques sont célébrées le 9 avril suivant. Son corps repose dans le cimetière de la ville de Lorgues.


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On a encore besoin d’un économe, charge qu’il va tenir de 1975 à 1999, d’abord à la maison des anciens à Saint-Sigismond (Savoie) durant deux ans, puis à la maison provinciale de Lyon-Debrousse (Rhône), une année, et enfin, à partir de 1988 à la nouvelle communauté de Souffelweyersheim, où il reste 11 ans. On peut dire que les obédiences, il sait ce que c’est, mais on sait aussi que ce religieux n’aime faire de vieux os au même endroit !

En 1999, se sentant fatigué, il demande de rejoindre Lorgues, dans le Var. C’est un bon compagnon, il s’entend bien avec tout le monde. Il aime plaisanter pour détendre l’atmosphère. En même temps, il a une foi profonde et simple. Juste un mois, avant sa mort, survenue le 6 avril 2002, le Père Alphonse confie à son supérieur, le Pèer Yvonnek de Villers : * A l’approche de la mort, on ne peut pas faire grand chose. Mais, ce qu’il y a de bien, dans la mort, c’est Jésus qui porte les valises +. Dans ses papiers, on trouve la phrase suivante : * Pour ma sépulture, en souvenir de mon baptême, trois fleurs en l’honneur de la Sainte Trinité, et c’est tout. Une croix sur ma tombe. Je crois en Jésus mort et ressuscité. Pas de discours +.

Le Père Alphonse s’est éteint paisiblement à Lorgues, le 6 avril 2002, suite à un cancer, supporté courageusement. Ses obsèques sont célébrées le 9 avril suivant. Son corps repose dans le cimetière de la ville de Lorgues.


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On a encore besoin d’un économe, charge qu’il va tenir de 1975 à 1999, d’abord à la maison des anciens à Saint-Sigismond (Savoie) durant deux ans, puis à la maison provinciale de Lyon-Debrousse (Rhône), une année, et enfin, à partir de 1988 à la nouvelle communauté de Souffelweyersheim, où il reste 11 ans. On peut dire que les obédiences, il sait ce que c’est, mais on sait aussi que ce religieux n’aime faire de vieux os au même endroit !

En 1999, se sentant fatigué, il demande de rejoindre Lorgues, dans le Var. C’est un bon compagnon, il s’entend bien avec tout le monde. Il aime plaisanter pour détendre l’atmosphère. En même temps, il a une foi profonde et simple. Juste un mois, avant sa mort, survenue le 6 avril 2002, le Père Alphonse confie à son supérieur, le Pèer Yvonnek de Villers : * A l’approche de la mort, on ne peut pas faire grand chose. Mais, ce qu’il y a de bien, dans la mort, c’est Jésus qui porte les valises +. Dans ses papiers, on trouve la phrase suivante : * Pour ma sépulture, en souvenir de mon baptême, trois fleurs en l’honneur de la Sainte Trinité, et c’est tout. Une croix sur ma tombe. Je crois en Jésus mort et ressuscité. Pas de discours +.

Le Père Alphonse s’est éteint paisiblement à Lorgues, le 6 avril 2002, suite à un cancer, supporté courageusement. Ses obsèques sont célébrées le 9 avril suivant. Son corps repose dans le cimetière de la ville de Lorgues.


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En 1946, c’est à Scy-Chazelles (Moselle) qu’il entreprend ses études de théologie pour deux ans seulement, car, en 1948, Scy-Chazelles redevient scolasticat de philosophie après les perturbations dues à la guerre. Le Frère Alphonse rejoint alors le scolasticat récent de Lyon-Valpré, qui, à cette époque, n’est encore qu’un grand château, sur l’ancien domaine. C’est chez les Pères des Missions Africaines de Lyon qu’il est ordonné prêtre par le Cardinal Gerlier, le 9 février 1950. En 1950, son premier poste est le collège d’Alzon à Bugeaud, collège transféré ensuite à Bône-Annaba (Algérie). Il y est professeur de septième.

A l’alumnat de formation, Etienne Pernet de Vellexon (Haute-Saône), il remplit le même rôle, durant une année en 1953. Il ne semble pas fait pour l’enseignement. La même année 1953, le Père Alphonse est nommé vicaire à Gabès en Tunisie. En 1957, à l’âge de 32 ans, il part en mission cette fois à Madagascar, dans ce qui deviendra le futur diocèse de Tuléar. Il travaille à la mission durant 15 ans, souvent seul en brousse, surtout à Bezaha et Sakaraha.

En 1972, il rentre de Madagascar pour assumer provisoirement la charge d’économe à l’alumnat de Scherwiller, puis la même fonction cette fois à Saint-Pierre en Gallicante à Jérusalem trois années, de &nbps:1978 à 1981. On fait appel à lui pour garder la maison de la rue François Ier à Paris, lors de la démolition de l’ancienne grande bâtisse, en attendant une reconstruction qui va prendre du temps. Puis le Père Alphonse retrouve une activité pastorale à Vellexon, pour trois ans.

On a encore besoin d’un économe, charge qu’il va tenir de 1975 à 1999, d’abord à la maison des anciens à Saint-Sigismond (Savoie) durant deux ans, puis à la maison provinciale de Lyon-Debrousse (Rhône), une année, et enfin, à partir de 1988 à la nouvelle communauté de Souffelweyersheim, où il reste 11 ans. On peut dire que les obédiences, il sait ce que c’est, mais on sait aussi que ce religieux n’aime faire de vieux os au même endroit !

En 1999, se sentant fatigué, il demande de rejoindre Lorgues, dans le Var. C’est un bon compagnon, il s’entend bien avec tout le monde. Il aime plaisanter pour détendre l’atmosphère. En même temps, il a une foi profonde et simple. Juste un mois, avant sa mort, survenue le 6 avril 2002, le Père Alphonse confie à son supérieur, le Pèer Yvonnek de Villers : * A l’approche de la mort, on ne peut pas faire grand chose. Mais, ce qu’il y a de bien, dans la mort, c’est Jésus qui porte les valises +. Dans ses papiers, on trouve la phrase suivante : * Pour ma sépulture, en souvenir de mon baptême, trois fleurs en l’honneur de la Sainte Trinité, et c’est tout. Une croix sur ma tombe. Je crois en Jésus mort et ressuscité. Pas de discours +.

Le Père Alphonse s’est éteint paisiblement à Lorgues, le 6 avril 2002, suite à un cancer, supporté courageusement. Ses obsèques sont célébrées le 9 avril suivant. Son corps repose dans le cimetière de la ville de Lorgues.


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Bibliographies