Willibrord (Wim) Kruiswik – 1926-2004

Jeunesse

Né à Delft, le 21 septembre 1926, il reçoit les noms de baptême Theodorus Wilhelmus. Dans la vie de tous les jours il est appelé Wim. Après l’enseignement primaire il visite l’école technique professionnelle dans sa ville natale. En 1946 il obtient, en passant par l’école du soir, le diplôme de l’enseignement primaire technique.

Assomptionniste

En 1948 il prend la décision d’entrer dans la vie religieuse. Il fait son noviciat chez les Pères Assomptionnistes à Halsteren. Le 7 octobre 1949 il prononce ses premiers voeux, également à Halsteren. À partir de ce moment, l’Adveniat Regnum Tuum devient la devise de sa vie. Il travaille à Nimègue, à Bergeijk et à l’École apostolique Sainte-Thérèse à Boxtel. Là il soigne comme cuisinier les étudiants, les pères et les frères, profitant des moyens limités dont il dispose. À Bergeijk il suit un cours d’enseignement agricole. Mais il ne travaille pas seulement dans la cuisine et à la ferme.

Missionnaire de sa manière

La plus longue période de sa vie active – de &bnps;1958 à 1992 – il la passe au Château « Stapelen » à Boxtel. Il s’y consacre principalement à un projet au Brésil, nommé Radio Jales. Pour rassembler autant d’argent que possible il parcourt tout le pays. Il dirige aussi l’action « Des hommes comme vous » et vend des calendriers de mission et des billets de loterie pour la MIVA. Qui dans ce temps disait Willibrord, disait également mission! En 1992 il part pour Rotterdam où il trouve un chez-soi chez madame Tiny Moerkerken, la belle-soeur du Père Salvator Moerkerken. Elle l’aide avec son travail pour Radio Jales.

Les dernières années

En 1997 il rentre à Boxtel à cause d’une santé déclinante et est placé dans la maison de repos « Molenweide ». Plus tard il est hospitalisé dans l’établissement de soins « Lindenlust » à Boxtel et puis dans la section de cure médicale de l’hopital Sainte-Liduine, également à Boxtel. Cette dernière partie de sa vie, il sait l’accepter courageusement, soutenu par une foi inébranlable. Pendant les dernières semaines il s’affaiblit très vite mentalement. On ne peut que deviner ce qu’il doit endurer. Le soir du 27 septembre 2004 il trouve enfin son repos bien mérité. Les obsèques ont lieu dans la chapelle de « Molenweide », le samedi 2 octobre. Après la liturgie, le Frère Willibrord est enterré au cimetière du Château « Stapelen ».


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Bibliographies