DERAEDT, Lettres, vol.7 , p. 86

3 jun 1868 Nîmes MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse

J’étais inquiet pour votre santé. – Les observations de M. de Cabrières viennent du dehors. – Notre situation financière est pénible.

Informations générales
  • DR07_086
  • 3323
  • DERAEDT, Lettres, vol.7 , p. 86
  • Orig.ms. ACR, AD 1482; D'A., T.D. 24, n. 981, p. 17.
Informations détaillées
  • 1 EMBARRAS FINANCIERS
    1 MALADES
    1 PRIEURE DE NIMES
    1 VENTES DE TERRAINS
    2 CABRIERES, ANATOLE DE
    2 LAURENT, CHARLES
    2 PICARD, FRANCOIS
    2 ROUSSEAUX, MARIE DU SACRE-COEUR
    3 CLICHY-LA-GARENNE
  • A LA MERE MARIE-EUGENIE DE JESUS
  • MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse
  • Nîmes, 3 juin 1868.
  • 3 jun 1868
  • Nîmes
La lettre

Ma chère fille,

Votre écriture a été une vraie joie pour moi. J’avais su par hasard que vous aviez été malade, j’avais sur-le-champ écrit au P. Picard, qui ne m’a pas encore répondu(1). On ne savait rien au prieuré.

Les observations de M. de C[abrières] viennent un peu du dehors. Je crois Soeur M[arie] du S[acré]-C[oeur] capable de dire toutes les absurdités du monde, mais il y a quelque chose là-dessous. Le P. Laurent pense absolument de la même façon(2).

Je suis un peu tiraillé par notre situation financière. N’y a-t-il pas moyen de finir la vente de Clichy? La situation est réellement pénible.

Adieu, ma chère fille. Votre lettre est arrivée au dernier moment. Tout vôtre en Notre-Seigneur.

E.D'ALZON.
Notes et post-scriptum
1. Sa réponse est pourtant datée du 2 juin (v. *Lettre* 3320, n. 2).
2. La lettre de Mère M.-Eugénie étant perdue, ces allusions nous échappent.