CIRCULAIRES – Sage, ECRITS SPIRITUELS

Avec la démocratie en marche, la politique envahit tout. Plus que jamais, pour dominer les Babels modernes, une seule politique nous est recommandée: celle de l’Eglise.

Informations générales
  • ES-0225
  • CIRCULAIRES
  • SIXIEME CIRCULAIRE(1)
  • Sage, ECRITS SPIRITUELS
Informations détaillées
  • 1 ACCEPTATION DE LA VOLONTE DE DIEU
    1 AMOUR DU CHRIST
    1 APOSTOLAT DE LA VERITE
    1 APPARITIONS DE JESUS-CHRIST
    1 AUTORITE DE L'EGLISE
    1 CAUSE DE L'EGLISE
    1 CHATIMENT
    1 COMBATS DE L'EGLISE
    1 DEFENSE DES DROITS DE DIEU
    1 DIEU LE FILS
    1 DOUTE
    1 EGLISE CELESTE
    1 ENSEIGNEMENT DE LA VERITE
    1 ESPRIT SURNATUREL A L'ASSOMPTION
    1 HAINE CONTRE DIEU
    1 HERESIE
    1 HISTOIRE DE L'EGLISE
    1 IDEES DU MONDE
    1 JESUS-CHRIST CHEF DE L'EGLISE
    1 LOI DIVINE
    1 LOI SANS DIEU
    1 MAHOMETANISME
    1 MAUX PRESENTS
    1 MECHANTS
    1 MIRACLE
    1 NATION
    1 OEUVRE DE JESUS-CHRIST
    1 PERFECTIONS DE DIEU
    1 PEUPLES DU MONDE
    1 POLITIQUE DE L'EGLISE
    1 PREDESTINATION
    1 PROVIDENCE
    1 QUESTION SOCIALE
    1 REGNE
    1 RELIGIEUX
    1 RESPECT HUMAIN
    1 REVOLUTION ADVERSAIRE
    1 ROI DIVIN
    1 SAGESSE DE DIEU
    1 SOUVERAINETE DIVINE
    1 SUJETS DU ROYAUME
    1 THOMAS D'AQUIN
    1 TRANSFORMATION SOCIALE
    1 TRIOMPHE DE L'EGLISE
    1 UNION DE L'EGLISE ET DE L'ETAT
    1 UNIVERSALITE DE L'EGLISE
    1 VERITE
    1 ZELE POUR LE ROYAUME
    2 CHARLEMAGNE
    2 CHARLES MARTEL
    2 CLOVIS
    2 CONSTANTIN LE GRAND
    2 JEAN, SAINT
    2 LOUIS, SAINT
    2 PAUL, SAINT
    2 PIERRE, SAINT
    2 PILATE
    3 AFRIQUE
    3 BABEL
    3 EUROPE
    3 FRANCE
    3 POITIERS
  • Nîmes, 2 juillet 1874.
La lettre

Mes très chers Frères,

Les questions sociales sont tellement bouleversées en ce moment, que les meilleurs esprits semblent s’égarer dans les voies les plus opposées. Les opinions se croisent, les systèmes s’élèvent les uns contre les autres, et l’on va à la confusion de Babel. Pourtant, il semble assez facile de connaître la route à suivre, si l’on veut sortir des intrigues politiques, des luttes de parti, des ambitions personnelles, se poser sur le terrain solide de la vérité religieuse, et s’attacher à la cause du Roi immortel des siècles. permettez-moi de planter quelques jalons à l’aide desquels il vous sera toujours possible, sinon facile, de vous retrouver au milieu du labyrinthe de tant de problèmes, ce semble, inextricables pour les meilleurs esprits.

I. — Au principe des questions sociales :

1. — Dieu est le souverain Seigneur de toutes choses : Domini est terra et plenitudo ejus, orbis terrarum et universi qui habitant in eo. Le monde et ses habitants sont la propriété de Dieu; ce que les hommes habitant le monde ont de mieux à faire, c’est de se soumettre à l’éternelle Majesté. Si les hommes partaient de ce principe pour régler leur conduite, leurs relations sociales et leur politique, que de maux ne seraient pas évités! Or, la Révolution étant dans son essence la négation radicale des droits de Dieu, n’établit-elle pas une révolte perpétuelle de l’homme contre Dieu, dont il faut que Dieu, dans sa patience, finisse par triompher? D’où il faut conclure: 1° le crime de la Révolution, quand elle nie les droits de Dieu; 2° l’obligation rigoureuse de défendre les droits de Dieu attaqués; 3° la possibilité du triomphe momentané des méchants, triomphe dans lequel ils trouvent en fin de compte un châtiment providentiel, ne fût-ce que par la mort des sociétés empoisonnées de leurs doctrines et de leurs crimes, comme l’histoire nous le montre si souvent; 4° la certitude du triomphe définitif de Dieu, qui prend son temps pour juger les justices mêmes: cum accepero tempus, ego justitias judicabo.

2. — Mais Dieu n’est le très sage régulateur de pas seulement le maître de l’univers; il en est le très sage régulateur. Ceux qui tissent toutes sortes de combinaisons plus ou moins habiles oublient trop qu’il y a une habileté plus grande que la leur, celle de l’éternelle Sagesse. Enfin, ne dirait-on pas, à voir une foule de projets, que l’on croit à l’abdication de la Providence? Eh bien! non, la Providence divine n’a pas abdiqué, et, selon la pensée de saint Thomas, le dernier mot de toute action supérieure est la volonté infinie de Dieu, mue par son intelligence infinie; volonté infinie, intelligence infinie, que peut-on opposer à cette puissance? Et n’est-il pas vrai que ceux qui s’appliquent à tout juger au point de vue divin et providentiel ont quelque chance de voir plus clair que ceux qui, sous prétexte d’écarter le miracle des choses de ce monde, ne s’arrêtent qu’à je ne sais quel terre à terre où l’on n’aperçoit que les vaines agitations de l’homme, sans autre but que des intérêts vaniteux et personnels.

3. Mais on a beau faire pour écarter le miracle, Jésus-Christ revient avec tout son empire et toute sa force divine. Le miracle! il est en Jésus-Christ, rédempteur du genre humain. Les hommes naissent-ils avec le péché originel? Sont-ils par nature enfants de colère? Dieu a-t-il envoyé son Fils pour les racheter? Jésus-Christ n’a-t-il pas acquis l’humanité par son sang? Dieu, maître souverain des choses, n’a-t-il pas dit à son Fils : [[ Demande-moi, et je te donnerai les nations en héritage; tu les gouverneras avec une verge de fer, et tu les briseras comme le vase du potier? ]]

Donc, Jésus-Christ est le maître des nations; il en est le maître, et il y a des nations qu’il doit gouverner rudement et briser comme un vase d’argile; mais ceci est le miracle par excellence, la continuation du miracle de la Rédemption. Un Dieu fait homme, premier miracle; un Dieu homme mourant sur une croix pour sauver le genre humain, second miracle; ce Dieu homme rendu par son Père maître de toutes les nations, troisième miracle; ce Dieu homme disposant toutes choses à son gré, appelant les uns à la lumière, laissant les autres dans les ténèbres, quatrième miracle; ce même Dieu fait homme commandant à certains serviteurs de choix de travailler à défendre ou à étendre son empire à travers le monde jusqu’aux extrémités de la terre, cinquième miracle; et ce qu’il y a de plus étonnant, c’est que ces miracles, à force de frapper les yeux par leur éblouissante clarté, ne les étonnent plus.

Il y a pourtant des conséquences à tirer de ces faits divins, miraculeux, incontestables pour des chrétiens. D’abord, l’obligation de tout juger, non seulement au point de vue général de la Providence divine, mais au point de vue plus spécial du surnaturel miraculeux de Notre-Seigneur Jésus-Christ. Ensuite, la nécessité de voir l’existence constante du miracle social partout où Jésus-Christ pose la main. Enfin, le devoir de concourir avec une foi absolue à toutes les directions données par Jésus-Christ, de façon que lorsqu’il nous dira: laxate retia vestra, nous lui répondions comme saint Pierre: Domine, per totam noctem laborantes nihil cepimus; in verbo autem tuo laxabo rete, et nous verrons les résultats les plus inattendus se manifester à la suite des ordres obéis du Sauveur.

Ainsi, bien loin d’écarter le miracle, ou il faut nier Jésus-Christ et son action surnaturelle au sein de l’humanité, ou il faut admettre la permanence miraculeuse de cette action divine dans la société. Toutefois, le miracle n’est pas toujours apparent; il se dérobe à la vue de ceux qui doutent. Quand Jésus-Christ apparut à ses apôtres après sa Résurrection, plusieurs crurent, quelques-uns doutèrent. C’est ce que nous voyons encore; on doute, on nie, comme, en voyant Jésus-Christ ressuscité, on doutait de son triomphe sur la mort. Est-il étonnant qu’on doute de son triomphe sur le péché, parce qu’il n’anéantit pas d’une manière terrible tous les pécheurs?

II. — La politique de l’Eglise

Si Jésus-Christ gouverne le monde, il y a une politique bien simple à suivre : c’est celle de Jésus-Christ. Or, cette politique s’affirme d’une manière toute spéciale, se manifeste d’une manière irrécusable dans la société fondée par lui, et où doivent se grouper ceux qui sont plus particulièrement siens. Je veux parler de la politique de l’Eglise.

4. — L’Eglise a-t-elle une politique? Manifestement, oui. Cette politique a deux buts: 1° la prédication de la vérité; 2° l’enseignement de la loi morale qui sort de la vérité divine, et qui n’est autre que la loi de Dieu. La prédication de la vérité, la proclamation de la loi divine, voilà la raison d’être de l’Eglise, et comme pour cela il faut un pouvoir, le maintien de ce pouvoir et de la hiérarchie qui en découle, l’intégrité des droits qui se rapportent à la distribution des dons divins transmis aux hommes par la hiérarchie sacrée, tel est le but de la politique ecclésiastique.

Le siècle actuel ne l’entend pas ainsi. Comme Pilate, il ne veut pas la vérité pour base de la société, et, depuis que la société ne repose plus sur ce fondement dogmatique, nous voyons par les ébranlements produits quels ébranlements nouveaux nous avons à redouter. Notre politique, avant tout, est la défense de la vérité sociale dont l’Eglise seule a le dépôt. De là l’obligation rigoureuse de ramener la notion de la vérité au sein de la société qui n’en veut pas.

Mais ce qui n’est pas moins important, c’est la défense de la loi de Dieu. La raison de l’homme n’en veut pas non plus, c’est un joug odieux qu’on veut briser. Or, tout ce qui a trait à la loi de Dieu doit être défendu par nous, parce que toute loi humaine qui contrarie cette loi supérieure est mauvaise de soi, pernicieuse, subversive, conduisant les peuples à la mort. Ah! si nous pouvions nous constituer les défenseurs acharnés de la loi de Dieu, quels maux ne préviendrions-nous pas! Quels éléments de dissolution sociale n’écarterions-nous pas! Et que la guérison des peuples si malades serait prochaine et assurée!

Nous avons choisi Jésus-Christ pour notre roi, et non seulement l’humanité entière lui appartient, mais son royaume de choix, c’est l’Eglise. Et, comme Jésus-Christ est le miracle perpétuel, la destinée de l’Eglise est de vivre de miracles: miracle dans sa fondation par un Crucifié, miracle dans les germes de son expansion, qui est le sang répandu par un Dieu; miracle dans ses conquêtes, formées par la folie de la prédication: per stultitiam praedicationis; miracle dans sa conservation au milieu des causes de ruines de toute espèce, miracle par le fait des sacrements, effusion constamment miraculeuse de l’amour de Dieu sur les hommes; miracle dans la perpétuité des promesses faites à l’Eglise et accomplies tellement en dehors des notions humaines. Après cela, nier le miracle dans le développement des choses humaines, c’est non seulement nier Jésus-Christ, mais nier le fait, aussi visible que le soleil, de l’existence de l’Eglise.

Oui, l’Eglise, étudiée par la seule raison, est un fait à la fois si incontestable et si plein de contradictions apparents, une institution si en dehors de toutes les idées de la sagesse mondaine, qu’admettre le fait de son existence et ne pas trouver la raison de sa durée dans une cause divine, c’est accepter au sein de l’humanité la plus grande folie à l’état permanent et victorieux; c’est la plus grande insulte faite par un génie malfaisant à la dignité humaine.

Vous comprenez que je n’ai pas à développer cette proposition, ce serait sortir de mon cadre. Du reste, pour vous elle est manifeste. Mais, qu’en conclure? C’est que, au milieu de la naissance, des maladies, de la mort des peuples, L’Eglise étant éternelle comme la vérité sa base, la grande cause que nous ayons à embrasser, c’est la cause de l’Eglise avec le miracle de sa perpétuité. Je reviens à dessin sur ce point de vue miraculeux, d’abord parce que le respect humain de certains catholiques s’applique d’une façon trop coupable à n’en tenir plus compte, ensuite parce que sans doute le miracle n’est promis à aucune autre société qu’à l’Eglise, mais parce que les sociétés qui adhèrent à l’Eglise, sans avoir des promesses d’immortalité, trouvent dans leur contact avec une institution impérissable des principes de durée que, depuis le christianisme, elles ne trouveront jamais ailleurs. L’Apôtre vit au milieu de la céleste Jérusalem l’arbre de vie, dont les fruits sont pour les élus; mais les feuilles elles-mêmes ont été données pour la santé des nations: et folia ejus ad sanitatem gentium. Notre politique sera de recueillir ces feuilles salutaires et de les porter aux peuples malades et capables pourtant de revenir par elles à la vie.

La politique, ainsi considéré, reste dans les hauteurs convenables à des religieux qui peuvent se grouper de toutes les parties de la terre; personne n’est blessé par un point d’honneur national. Sur toutes les parties de la terre proclamer les droits de Dieu, de Jésus-Christ, de son Eglise, telle doit être notre grande préoccupation. Ceux qui les défendent sont nos alliés, ceux qui les combattent sont nos adversaires. Là où l’Eglise, organe de Dieu, laisse libre, nous respectons la liberté de chacun; là où elle proclame des obligations, nous les proclamons avec elle; là où elle condamne, nous condamnons; là où elle déclare la guerre, nous luttons, peu soucieux de voir la fin de la bataille, certains que nous sommes de la victoire définitive, et sachant que, comme pour saint Paul, si nous combattons le bon combat, nous recevrons la couronne de justice des mains du juste Juge, au jour qu’il sait.

III. — Deux observations finales

5. Toutefois, j’ai encore, avant de finir, deux observations à faire. La première est que, tout en nous désintéressant des questions purement humaines, il nous est impossible de ne pas nous trouver en face de certaines situations où la cause de l’Eglise et la cause de certains peuples semblent être unies très intimement. Le moyen âge nous en a présenté plusieurs exemples. Le premier empereur qui prit la croix pour étendard de ses armées devait-il être traité avec indifférence par les chrétiens, sous prétexte qu’il trouvait son intérêt dans le triomphe assuré de l’Eglise? Les événements qui se sont déroulés depuis nous ont montré les chefs de l’Eglise invoquant l’appui du glaive temporel. Peut-on dire que l’Eglise a eu tort? Mais alors, que deviennent les promesses de l’assistance divine: omnibus diebus usque ad consummationem saeculi, si elle s’est trompée si longtemps et sur la question si capitale, au point de vue humain, de l’union de l’Eglise et de l’Etat? Mais, si elle avait raison, pourquoi ne l’aurait-ellle pas toujours?

Rappelons-nous donc que Jésus-Christ n’abandonne pas son Eglise; que la cause de l’Eglise, étant celle du roi Jésus, celle de Dieu par conséquent, est la cause du vrai et du bien, et que, toutes les fois que nous verrons un peuple défendre cette cause franchement, loyalement, on peut, avec l’Eglise, prendre parti pour ce peuple.

La seconde observation est que les peuples ne vivent comme peuples que par un intérêt ou une idée. S’ils vivent par un intérêt, ce sont des marchands qui font leurs affaires. De leurs profits ou de leurs pertes, nous n’avons pas à nous occuper. Peut-être volent-ils? Nous avons alors, pour ce qui nous concerne, à veiller à ce qu’ils ne nous volent pas trop, et, pour ce qui les concerne eux-mêmes, à ce qu’ils ne soient pas trop voleurs. Mais il en est qui vivent pour une idée. Si cette idée est mauvaise, il faut la combattre sans paix ni trève. Si cette idée est vraie, le peuple qui la défend a la bénédiction de Dieu.

Hélas! La France avait reçu cette bénédiction, qu’en a-t-elle fait? La France! elle naquit le jour où Clovis prit en main la cause de la divinité du Christ en face du vieux monde romain et de la barbarie, plongés l’une et l’autre dans l’arianisme. Elle se développa dans les plaines de Poitiers, quand Charles Martel y refoula l’islamisme menaçant L’Europe. Elle fut bien glorieuse le jour où par Charlemagne elle affermit la puissance extérieure de la papauté. Elle atteignait son apogée le jour où saint Louis, expirant sur la cendre, rendait le dernier soupir pour la cause du tombeau du Christ sur les plages d’Afrique. Sa mission fut toujours manifeste. La fille aînée de l’ Eglise savait, malgré quelques querelles de famille, défendre au-dehors la cause de sa mère. Cette mission, si unique dans l’histoire, l’aurait-elle désertée? A voir ce qui se passe, on peut le redouter, et si l’on voyait quelque peuple prêt à la remplacer, ce serait pour nous l’heure des plus rudes angoisses. Heureusement, nos successeurs dans ce noble travail n’apparaissent pas; la place est encore libre pour nous; sachons la reprendre et nous y maintenir; voilà notre seule politique de religieux français, politique où tout homme vraiment chrétien nous aidera à coup sûr, si nous accomplissons notre tâche d’une manière désintéressé, avec foi, amour et respect pour Jésus-Christ et son Eglise.

Pardonnez-moi si je ne précise pas davantage. Il faut, en me plaçant sur le terrain que j’ai choisi, laisser une certaine liberté de mouvement, pourvu qu’on soit inflexible sur les grandes lignes que je crois avoir tracées.

N’oublions pas que si nous devons tenir compte du miracle dans les destinées de l’Eglise, le miracle a évidemment son influence directe pour la protection, la récompense ou le châtiment des peuples fidèles, indifférents ou hostiles. De cette hauteur, il est facile de prévoir bien des évènements tristes ou consolants. Quoi qu’il en soit, souvenons-nous que nous sommes avant tout les sujets de Jésus-Christ notre roi, les citoyens de l’Eglise notre patrie, et que nous devons à Jésus-Christ et à son Eglise notre fidélité, nos services, notre amour et notre vie.

Recevez, mes très chers Frères, l’hommage de mes plus respectueux et tendres sentiments en Notre-Seigneur.

E. d'ALZON.
Notes et post-scriptum
(1) A la lumière de la Révélation, des enseignements de saint Augustin en sa <> et du Concile du Vatican sur le mystère de l'Eglise, le P. d'Alzon esquisse, en cette circulaire, une rapide, mais suggestive théologie de l'histoire pour éclairer de haut les combats qu'entreprenait alors l'Assomption pour la défense de l'Eglise.