Périer-Muzet, Lettres, Tome XV, p. 27.

23 mar 1850 Nîmes MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse

Varia.

Informations générales
  • PM_XV_027
  • 0+682 b|DCLXXXII b
  • Périer-Muzet, Lettres, Tome XV, p. 27.
  • Orig.ms. ACR, AD 706; D'A., T.D. 20, p. 147.
Informations détaillées
  • 2 BOURBON, FRANCOIS
    2 KAJZIEWICZ, JEROME
    3 VALBONNE
  • A LA MERE MARIE-EUGENIE DE JESUS
  • MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse
  • Nîmes, le 23 mars 1850.
  • 23 mar 1850
  • Nîmes
  • Maison de l'Assomption
La lettre

Ma chère fille,

Il faut que vous vous contentiez de deux lignes. J’ai été souffrant cette semaine obligé de me lever tard et surchargé de dérangements. Veuillez me pardonner mon silence. Que Dieu bénisse les bonnes dispositions, où je vous trouve d’après votre lettre! Que je voudrais pouvoir vous en parler un peu longuement ! J’ai été assez fervent hier, jour de la Compassion; je vous l’attribue en partie. Dès que je serai à Valbonne, je vous écrirai longuement et à l’aise. Si M. Bourbon peut arriver, le plus tôt sera le meilleur. J’attends aussi le Polonais, supposé qu’il se décide. Nous n’avons pas encore reçu les ordos promis par le P. Jérôme; vous devriez bien les lui faire demander.

Adieu, ma fille. Mon Dieu, que je suis pressé ! Et pourtant, que de choses à vous dire ! A revoir, dès que j’aurai une minute.

E.D'ALZON.
Notes et post-scriptum