DERAEDT, Lettres, vol. 3, p.368

22 dec 1860 Nîmes MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse

Soeur M.-Augustine. – A propos de la vente de Clichy. – Il est grippé et a dû renoncer à la retraite d’Agen. – Thérèse de Rocher est ici. – Soeur M.-Geneviève.

Informations générales
  • DR03_368
  • 1521
  • DERAEDT, Lettres, vol. 3, p.368
  • Orig.ms. ACR, AD 1272; D'A., T.D. 22, n. 652, p. 298.
Informations détaillées
  • 1 EMPRUNTS HYPOTHECAIRES
    1 MALADIES
    1 PREDICATION DE RETRAITES
    1 REPOS
    1 VENTES DE TERRAINS
    2 BAILLY, VINCENT DE PAUL
    2 BEVIER, MARIE-AUGUSTINE
    2 CHAUVAT, MARIE-GENEVIEVE
    2 MAES, GEORGES
    2 MALEISSYE, MARQUIS DE
    2 MILLERET, LOUIS
    2 ROCHER, THERESE-AUGUSTINE DE
    3 AGEN
    3 PARIS
  • A la Mère Marie-Eugénie de Jésus
  • MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse
  • [Nîmes, le 22 ou 23 décembre 1860](1).
  • 22 dec 1860
  • Nîmes
La lettre

Ma chère fille,

La douleur de Soeur M.-Aug[ustine] est calmée. Elle m’envoie des oeufs frais, à condition que je ne saurai pas qu’ils viennent d’elle. Il me semble que si M. Maës ne veut pas nous acheter, nous pouvons nous passer de lui, en traitant avec Monsieur votre frère et M. de Maleyssie. J’explique au Frère V[incent] de P[aul] mes motifs d’y trouver tout avantage, si l’on nous compte 100.000 francs et si l’on attend pour le reste les augmentations probables.

Je suis très grippé. Il me faut du repos, j’ai dû renoncer à la retraite à Agen. Thérèse de Rocher est ici pour quelques jours. Elle rentrera, sous prétexte d’une retraite, dans un mois d’ici. Elle ne va pas à Paris, mais après être restée ici un mois, elle fera ce qu’on voudra.

Adieu. Tout vôtre.

E.D'ALZON.
Notes et post-scriptum
Soeur M.-Geneviève est admirablement pour le quart d'heure.1. Réponse à une lettre du 20 décembre. Le contenu indique qu'elle fut écrite le même jour que la précédente.