- DR05_307
- 2515
- DERAEDT, Lettres, vol.5 , p. 307
- Orig.ms. ACR, AP 302; D'A., T.D. 34, n. 35, p. 24.
- 1 APOSTOLAT DE LA CHARITE
1 FABRICANTS
1 HONNETETE
1 INTELLIGENCE
1 PETITES SOEURS DE L'ASSOMPTION
2 BAILLY, VINCENT DE PAUL
2 BERNOVILLE, GAETAN
2 BERTRAND, FRERES
2 FAGE, MARIE DE JESUS
2 MAIRE MARIE DE LA CROIX
2 PICARD, FRANCOIS
3 PARIS, RUE VANEAU - AU PERE ETIENNE PERNET
- PERNET Etienne aa
- Nîmes, 13 mai [18]65.
- 13 may 1865
- Nîmes
Un homme plongé dans les bonnes oeuvres(1) doit connaître des fabricants de gants. Ayez donc la bonté de recommander à un ou à plusieurs des nombreux fabricants de gants, mais de ceux que vous comptez incontestablement parmi vos amis intimes, les frères Bertrand. Vous pouvez les garantir intelligents, mais surtout très honnêtes.
Je ne vous en dis pas davantage et suis pour la vie
Le Père d'Alzon.1. "P. Pernet fait *mirabilia*, il est le père des pauvres et le *consolator afflictorum* du quartier, il est dans son élément, travaille et parle beaucoup; malheureusement il maigrit de même, mais il est content malgré sa maigreur." (Picard au P. d'Alzon, 25 avril). "P. Pernet devient de plus en plus le Père des pauvres" (à Bailly, 5 mai).
Voilà un an qu'à la rue Vaneau Mlle Maire et deux compagnes se sont associées sous l'impulsion du P. Pernet pour être les gardes-malades des pauvres. Voilà un an aussi que le P. Pernet a rencontré Antoinette Fage, en laquelle il a immédiatement reconnu celle qui serait la mère de ses gardes-malades. En ces premiers jours de mai 1865, il lui a demandé d'en prendre la direction et de s'y préparer par un séjour chez les Dames de l'Assomption à Auteuil. Mlle Fage a accepté... (voir G. BERNOVILLE, *Le Père Pernet*, pp. 70-80, Paris, 1944).
Voilà un an qu'à la rue Vaneau Mlle Maire et deux compagnes se sont associées sous l'impulsion du P. Pernet pour être les gardes-malades des pauvres. Voilà un an aussi que le P. Pernet a rencontré Antoinette Fage, en laquelle il a immédiatement reconnu celle qui serait la mère de ses gardes-malades. En ces premiers jours de mai 1865, il lui a demandé d'en prendre la direction et de s'y préparer par un séjour chez les Dames de l'Assomption à Auteuil. Mlle Fage a accepté... (voir G. BERNOVILLE, *Le Père Pernet*, pp. 70-80, Paris, 1944).