DERAEDT, Lettres, vol.6 , p. 369

13 sep 1867 Le Vigan BAILLY_VINCENT de Paul aa

Une porte à ouvrir. – Restez jusqu’en janvier ou février. – Prêt ou remboursement? – Je prêche une retraite.

Informations générales
  • DR06_369
  • 3126
  • DERAEDT, Lettres, vol.6 , p. 369
  • Orig.ms. ACR, AG 200; D'A., T.D. 27, n. 198, p. 149.
Informations détaillées
  • 1 COLLEGE DE NIMES
    1 LOCAUX SCOLAIRES
    1 PREDICATION DE RETRAITES
    1 RAPPORT SUR LA SITUATION DE L'ECONOMAT
    2 DOUMET, MADAME EMILE
    2 FABRE, JOSEPHINE
    2 GERMER-DURAND, EUGENE
    2 PICARD, FRANCOIS
  • AU PERE VINCENT DE PAUL BAILLY
  • BAILLY_VINCENT de Paul aa
  • Le Vigan, 13 sept[embre 18]67.
  • 13 sep 1867
  • Le Vigan
La lettre

Cher ami,

Il me semble qu’une fois que la position des marches de l’escalier, qui du palier de la salle de physique conduit au pavillon, permet d’ouvrir une porte, le meilleur est de faire le passage dans l’ancienne classe de dessin. On n’a qu’une seule porte à ouvrir dans le mur. Le bon François(1), ou n’avait pas tenu compte des niveaux, ou n’avait pas prévu une grosse dépense de remblais. Je ne vous dis pas autre chose et me contente de vous donner un grossier croquis de ma pensée. [Voir un plan dessiné sur la lettre].

Adieu, très cher. Plus je vais, plus je crois utile que vous restiez jusqu’en janvier ou février. Si alors nous ne pouvons nous entendre, vous aurez votre liberté. Mille fois à vous.

E.D'ALZON.
Notes et post-scriptum
Ce que je voulais savoir par rapport aux sommes du P. Picard, c'est ce qu'il a remboursé et qui m'est présenté tantôt comme un remboursement, tantôt comme une somme prêtée par la supérieure. Veuillez dire à Madame Doumet, à Mlle Fabre et à la Soeur Joséphine que je n'écris pas, parce que je prêche une retraite(2).1. François Germer-Durand.
2. Aux Oblates.