- DR06_406
- 3168
- DERAEDT, Lettres, vol.6 , p. 406
- Orig.ms. ACR, AE 259; D'A., T.D. 25, n. 259, p. 209.
- 1 COLLEGE DE NIMES
1 CONGREGATION DES AUGUSTINS DE L'ASSOMPTION
1 EMBARRAS FINANCIERS
1 NOVICIAT DES ASSOMPTIONNISTES
1 PENSIONS SCOLAIRES
1 SAINT-SIEGE
1 TRAITES
2 BAILLY, VINCENT DE PAUL
2 BRUN, HENRI
2 PICARD, PIERRE
2 QUINN, JAMES
2 RENEHAN, ABBE
3 PARIS
3 ROME
3 VIGAN, LE - AU PERE FRANCOIS PICARD
- PICARD François aa
- Nîmes, 18 nov[embre 18]67.
- 18 nov 1867
- Nîmes
Mon cher ami,
Il y aurait, en effet, un moyen bien simple d’éviter que l’on ne prît pas la mesure proposée par M. Picard(1), ce serait de vouloir bien nous donner quelque chose de ce que j’ai prêté à la maison de Paris. Le P. Vincent de Paul est absent, et il faut aller jusqu’au 1er février, époque où nous toucherons une somme. Si j’avais cru passer par toutes ces perplexités, bien habile eût été qui m’eût fait ouvrir le noviciat au Vigan. L’on n’eût pris que des gens capables de payer leur pension. Enfin c’est fait, mais l’expérience me servira.
Le P. Vincent de Paul est l’homme du monde le plus heureux d’être à Rome. Je crois qu’il y pose très bien la Congrégation. Ici, la maison marche dans un très bon esprit. S’il ne fallait que cela, nous serions les gens les plus heureux du monde, mais il faut vivre.
Adieu. Parmi les plans merveilleux que vous pourrez me proposer, tâchez de trouver celui de nous procurer quelques fonds. Mille fois à vous en N.-S.
E.D'ALZON.2. Cédant aux intimidations de l'évêque Quinn dans l'affaire Renehan (v. *Lettre* 2687, n. 1), le P. Brun avait signé un document exprimant ses regrets d'avoir pris le parti de Renehan (lettre du 20 septembre).