DERAEDT, Lettres, vol.6 , p. 426

18 dec 1867 Nîmes SAUGRAIN Hippolyte aa

Les Oblates. – J’ai envie de faire venir le P. Vincent de Paul pour arranger tout une dernière fois. – Varia.

Informations générales
  • DR06_426
  • 3192
  • DERAEDT, Lettres, vol.6 , p. 426
  • Orig.ms. ACR, AK 169; D'A., T.D. 33, n. 179, pp. 110-111.
Informations détaillées
  • 1 AMOUR FRATERNEL
    1 CHARITE ENVERS LE PROCHAIN
    1 COLLEGE DE NIMES
    1 NOTRE-DAME DE BULGARIE
    1 OBLATES
    1 ZOUAVES PONTIFICAUX
    2 ARNAL DU CUREL, ERNEST
    2 ARNAL DU CUREL, MADAME
    2 BAILLY, VINCENT DE PAUL
    2 BRUN-VILLARET, FELICITE
    2 DALMIER, ELISABETH
    2 DALMIER, JEANNE DE LA CROIX
    2 DALMIER, NATHALIE
    2 DALMIER, ROSE
    2 DURAND, MADELEINE
    2 FERRET, JULES
    2 MARGUERYE, FREDERIC DE
    3 AUTUN
    3 ROCHEBELLE, FAUBOURG DU VIGAN
    3 ROME
  • AU PERE HIPPOLYTE SAUGRAIN
  • SAUGRAIN Hippolyte aa
  • [Nîmes,] 18 déc[embre 18]67.
  • 18 dec 1867
  • Nîmes
La lettre

Merci des détails que vous donnez sur Rochebelle. J’espère sous très peu vous envoyer d’excellentes ouvrières, deux pour commencer. Mais Soeur M.-Madeleine a bien peu de tact et est trop contente du départ des soeurs Dalmier. Dites quelques bonnes paroles, de ma part, à Soeur Nathalie.

Je suis dans l’embarras pour le 1er février. J’ai envie de faire venir le P. V[incent] de P[aul] pour arranger tout une dernière fois et pour le laisser repartir ensuite pour Rome, où il est dans son élément. Si vous étiez ici, nous aurions parlé de bien des choses.

Les Oblates vont bien. Soeur Félicité voudrait par moments s’accrocher à moi, je n’y donne pas prise. Et les zouaves? Je n’en vois plus venir. Quant au Fr. Jules, si j’avais su un peu plus tôt, je me serais entendu avec l’évêque d’Autun que je connais beaucoup(1).

Adieu et tout vôtre. Je n’ai qu’une minute.

E.D'ALZON.
Notes et post-scriptum
La maison marche aussi bien que possible. Jamais les études n'y [ont] été si bonnes et l'esprit meilleur, grâce aux départs. Mille choses à Mme Arnal. Que devient Ernest(2)?1. Les lettres dimissoriales nécessaires pour que le Fr. Jules Ferret, originaire de Seine-et-Oise, puisse recevoir la tonsure ne sont pas arrivées. L'évêque d'Autun de 1852 à 1872 fut Mgr Frédéric-Gabriel de Marguerye.
2. Ernest Arnal est précisément l'un de ceux dont le départ a eu un heureux effet sur l'esprit du collège...