DERAEDT, Lettres, vol.7 , p. 8

12 jan 1868 Nîmes MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse

Monseigneur semble peu disposé à écrire à Reims. – Soeur Thérèse-Augustine. – Le P. Vincent de Paul.

Informations générales
  • DR07_008
  • 3227
  • DERAEDT, Lettres, vol.7 , p. 8
  • Orig.ms. ACR, AD 1467; D'A., T.D. 24, n. 966, p.14.
Informations détaillées
  • 1 PRIEURE DE NIMES
    1 RELIGIEUSES DE L'ASSOMPTION
    1 SYMPATHIE
    1 ZOUAVES PONTIFICAUX
    2 BAILLY, VINCENT DE PAUL
    2 DARBOY, GEORGES
    2 LANDRIOT, JEAN-BAPTISTE
    2 PLANTIER, CLAUDE-HENRI
    2 ROCHER, THERESE-AUGUSTINE DE
    3 LYON
    3 MONTE ROTONDO
    3 REIMS
    3 ROME
  • A LA MERE MARIE-EUGENIE DE JESUS
  • MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse
  • Dimanche [Nîmes, 12 janvier 1868].
  • 12 jan 1868
  • Nîmes
La lettre

Je n’ai que le temps de vous dire un mot. Monseigneur, à qui j’ai lu vos lettres, me semble peu disposé à écrire à R[eims](1). Il faudra, si vous y tenez, le lui demander directement; autrement il vous donnera une copie que vous communiquerez tant que vous voudrez. Soeur Thérèse-Augustine a changé tout à coup d’avis, quand elle a vu qu’il s’agissait pour elle d’aller à Lyon(2).

Adieu, ma fille. Je prie bien pour vous. Le P. V[incent] de P[aul] est allé de Monterotondo à Rome pour votre affaire(3); ils sont réellement bien à plaindre ces pauvres zouaves(4). Adieu, ma fille. Tout vôtre. J’ai envie de vous souhaiter votre fête huit jours à l’avance, c’est vous dire que j’y pense déjà.

E.D'ALZON.
Notes et post-scriptum
1. Mère M.-Eugénie aurait souhaité que Mgr Plantier trouvât le moyen d'exprimer à l'archevêque de Reims la sympathie qu'il éprouvait pour les R.A. dans leurs difficultés avec l'archevêché de Paris (au P. d'Alzon le 8 janvier).
2. Soeur Thérèse-Augustine souhaitait quitter le prieuré de Nîmes.
3. Voir *Lettre* 3224, n. 1.
4. Le P. d'Alzon pense ici aux zouaves malades de Monte Rotondo dont, selon les descriptions du P. Bailly, la situation dans les hôpitaux est abominable.