DERAEDT, Lettres, vol.8 , p. 474

11 jul 1870 Rome CORRENSON_MERE Emmanuel-Marie

Travaillons ensemble au même but – Soyez toujours ma fille, ma soeur par excellence.

Informations générales
  • DR08_474
  • 4141
  • DERAEDT, Lettres, vol.8 , p. 474
  • Orig.ms. AC O.A.; Photoc. ACR, AH 417; D'A., T.D.30, n.338, p.162.
Informations détaillées
  • 1 AMITIE
    1 APOSTOLAT
    1 DON DE SOI A DIEU
    1 GLOIRE DE DIEU
    1 JOIE
    1 NOTRE-SEIGNEUR
    1 OBLATES
    1 PATERNITE SPIRITUELLE
    1 UNION DES COEURS
    2 BAILLY, EMMANUEL
    2 BROUSSE, VICTORINE
    2 FRANCOIS DE SALES, SAINT
    2 JEANNE DE CHANTAL, SAINTE
  • A LA MERE EMMANUEL-MARIE CORRENSON
  • CORRENSON_MERE Emmanuel-Marie
  • Rome, 11 juillet [18]70.
  • 11 jul 1870
  • Rome
  • n.2 *Madame la supérieure des Oblates de l'Assomption.*
La lettre

Que Dieu, ma fille bien aimée, vous rende au centuple la joie que me cause la certitude que vous me faites donner par le Père Emmanuel, que vous voulez vivre et mourir religieuse. Oh! ma fille, que je vous sens mienne, puisque je vous sens à Notre-Seigneur! Croyez-moi, que nous ayons peu ou beaucoup à vivre, restons unis, travaillons ensemble au même but. Je veux beaucoup de bien à Soeur Victorine de n’avoir pas compris, puisqu’elle me(1) fournit l’occasion d’avoir une certitude que je croyais bien avoir, mais qu’il est bon de faire de nouveau confirmer. Travaillons, travaillons à la gloire de Dieu. Soyez toujours, ma fille, ma soeur par excellence, comme je veux être, comme saint François de Sales le disait à sainte Chantal, votre unique père, n’est- ce pas? Vous me pardonnerez bien ce petit épanchement qui vous montre une partie de mon coeur pour vous.

Adieu, ma fille bien aimée. Mille et mille et encore mille fois merci.

E.D'ALZON.
Notes et post-scriptum
Croirez-vous enfin que l'on vous aime?1. Les T.D. ont lu *m'en*.