DERAEDT, Lettres, vol.9 , p. 394

12 jul 1872 Le Vigan BAILLY_EMMANUEL aa

Speech à corriger – Le Fr. Luc et le Fr. Norbert.

Informations générales
  • DR09_394
  • 4645
  • DERAEDT, Lettres, vol.9 , p. 394
  • Orig.ms. ACR, AI 227; D'A., T.D.31, n.227, pp.200-201.
Informations détaillées
  • 1 COLLEGE DE NIMES
    1 DISCOURS DE DISTRIBUTION DES PRIX
    1 HABILLEMENT DU RELIGIEUX
    1 REPAS
    2 ARGAUD, CASIMIR
    2 CABRIERES, ANATOLE DE
    2 GIRY, MAURICE DE
    2 LUKOV, Luc
    2 MATHIEU, NORBERT
    2 ROUVIERE, ALBERT
    3 FORBACH
    3 NIMES, MONT-DUPLAN
    3 ROME
  • AU PERE EMMANUEL BAILLY
  • BAILLY_EMMANUEL aa
  • [Le Vigan, 12 juillet 1872](1).
  • 12 jul 1872
  • Le Vigan
La lettre

Cher ami,

Veuillez corriger le speech ci-joint, je n’ajouterai que quelques mots de vive voix pour coudre mon discours à celui de M. de Cabrières(2). Si vous le trouvez trop court, envoyez-moi une épreuve; j’ajouterai, ce sera facile.

Adieu. [Le] Fr. Luc vous arrivera, quand son linge sera prêt. [Le] Fr. Norbert a été trois ans chez M. Argaud; il peut sans difficulté y rester et venir prendre ses repas à l’Assomption(3).

Totus tibi.

E.D'ALZON.
Notes et post-scriptum
Ci-joint deux lettres.1. Les T.D. ont *octobre*. En rapprochant cette lettre de la *Lettre* 4646 et des lettres d'E. Bailly des 11 et 15 juillet nous pouvons la dater du 12 de ce mois.
2. A la distribution des prix de la Maison de l'Assomption, le 30 juillet. L'abbé de Cabrières y célèbrera la mémoire de deux anciens élèves du collège, Albert Rouvière et Maurice de Giry, tombés héroïquement, le premier à Forbach, le second à Rome lors de l'entrée des Piémontais dans la ville. Le P. d'Alzon y lancera un appel pour une *Union des anciens élèves des maisons chrétiennes entre eux et avec leurs maîtres*. Ces discours furent publiés par l'Association des Anciens Elèves de l'Assomption. Le texte du P. d'Alzon parut également dans le numéro d'août de la *R.E.C.*
3. Le P. Emmanuel avait averti le P. d'Alzon que M. Argaud avait quitté le mont Duplan où il ne se rendait plus que pour les récréations. Il fallait occuper les lieux sans tarder.