DERAEDT, Lettres, vol.10 , p. 94

25 jul 1873 Le Vigan COURCY Marie-Gabrielle ra

L’idée absurde du pensionnat.

Informations générales
  • DR10_094
  • 4852
  • DERAEDT, Lettres, vol.10 , p. 94
  • Orig.ms. AC R.A.; D'A., T.D.35, n.31, p.107.
Informations détaillées
  • 1 CONGREGATIONS DE FEMMES DE L'ASSOMPTION
    1 PENSIONNATS
    2 CORRENSON, EMMANUEL-MARIE
    3 ANDRINOPLE
  • A SOEUR MARIE-GABRIELLE DE COURCY
  • COURCY Marie-Gabrielle ra
  • Le Vigan, 25 juillet 1873.
  • 25 jul 1873
  • Le Vigan
La lettre

Je vous remercie, loin d’être le moins du monde peiné, ma chère fille, de ce que vous voulez bien articuler un fait. Avec cela je puis demander où en sont des projets, que nous n’avons jamais traités avec la supérieure des Oblates. Elle m’avait bien parlé, dans le temps, de prendre en pension une jeune personne d’Andrinople, et encore avais-je écarté l’idée. Mais je pense qu’une fille d’Andrinople, si elle venait -ce qui n’est pas probable- ne vous ferait pas ombrage. Et encore je crois que je dis alors qu’il vaudrait mieux vous la confier. J’entre dans ce détail pour vous montrer comment j’accepte l’idée absurde du pensionnat(1).

Adieu, ma chère fille. Restez tranquille. A lundi.

E.D’ALZON.

J’ai ici des préoccupations d’un tout autre genre, pour lesquelles je vous conjure de bien prier, pour que j’agisse avec la miséricorde et la justice de Notre-Seigneur.

E.D'ALZON
Notes et post-scriptum
1. Voir *Lettres* 4831 et 4834.