- DR11_056
- 5251
- DERAEDT, Lettres, vol.11 , p. 56
- Orig.ms. ACR, AH 56; D'A., T.D.28, n.406, p.42.
- 1 MORT
1 POSTULAT
2 BOULET, JULES
2 CHAMBOURDON, FRANCOIS
2 CHAULNES, GABRIEL DE
2 EPINEAUX, ABBE
2 FREYD, MELCHIOR
2 PONCELET, ABBE
3 PARIS - AU PERE VINCENT DE PAUL BAILLY
- BAILLY_VINCENT de Paul aa
- Nîmes, 12 mars [18]75.
- 12 mar 1875
- Nîmes
Cher ami,
Ce n’est ni votre papier ni votre écriture que j’aime, mais ce que porte votre papier et ce que votre écriture dit. Puisque le Fr. Boulet est à Paris, gardez-le jusqu’au rétablissement du P. François. Si vous pouvez expédier M. Poncelet, expédiez-le, à moins qu’il ne vous soit indispensable(1). Si M. Epin[e]aux(2) a de bons certificats, prenez-le à l’essai. Votre soldat, mais je l’ai oublié.
La mort du P. Freyd m’est un coup de poignard(3). Je ne me rappelle pas la lettre Gabriellique(4), mais j’ai été grippé, névralgisé quinze jours. J’ai besoin d’un peu de repos.
1. Un prêtre qui veut être religieux. "Voulez-vous qu'il commence son postulat ici ou voulez-vous le voir à Nîmes ?" (Vincent de Paul, 9 mars).
2. Nous adoptons l'orthographe du P. Bailly. Il s'agit d'un abbé : "Le voulez-vous à Nîmes?"
3. Le P. Melchior Freyd, CSSp, supérieur du Séminaire français à Rome, était décédé le 6 mars.
4. "Je pense que vous n'envoyez pas d'autre article que la lettre gabriélique. On va noircir la Revue" (Vincent de Paul, 9 mars). La lettre gabriélique est la *Lettre au P. d'Alzon* de Gabriel de Chaulnes, que le n° de mars de la *R.E.C.* va publier. Elle appuie les considérations que le P. d'Alzon a développées sur l'avenir de l'enseignement chrétien dans les deux numéros précédents de la revue.
2. Nous adoptons l'orthographe du P. Bailly. Il s'agit d'un abbé : "Le voulez-vous à Nîmes?"
3. Le P. Melchior Freyd, CSSp, supérieur du Séminaire français à Rome, était décédé le 6 mars.
4. "Je pense que vous n'envoyez pas d'autre article que la lettre gabriélique. On va noircir la Revue" (Vincent de Paul, 9 mars). La lettre gabriélique est la *Lettre au P. d'Alzon* de Gabriel de Chaulnes, que le n° de mars de la *R.E.C.* va publier. Elle appuie les considérations que le P. d'Alzon a développées sur l'avenir de l'enseignement chrétien dans les deux numéros précédents de la revue.