- DR12_378
- 6237
- DERAEDT, Lettres, vol.12 p. 378
- Orig.ms. ACR, AI 369; D'A., T.D. 31, n. 367, pp. 303-304.
- 1 AMITIE
1 CALOMNIE
1 CONGREGATION DES AUGUSTINS DE L'ASSOMPTION
1 CONVERSATIONS
1 EGLISE ET ETAT
1 FAMILLE
1 ITALIENS
1 LOISIRS
1 MINISTERE
1 OBLATES
1 PARESSE
1 POLEMIQUE
1 PUBLICATIONS
1 REVOLUTION ADVERSAIRE
1 REVOLUTIONNAIRES ADVERSAIRES
1 SAGESSE HUMAINE
1 SAINT-SIEGE
1 SEMAINE SAINTE
1 SEMINARISTES
1 SOUSCRIPTION
1 VENERATION DE RELIQUES
2 BARNOUIN, HENRI
2 BESSON, LOUIS
2 CORNELIE, SAINTE
2 COURCY, MARIE-GABRIELLE DE
2 DUMAZER, ALEXIS
2 DUMAZER, JEAN
2 DUPANLOUP, FELIX
2 FABIENNE, SAINTE
2 FABRE, JOSEPHINE
2 GROS, ABBE
2 LEON XIII
2 MERCURELLI, FRANCESCO
2 MONTALEMBERT, MADAME CHARLES DE
2 PICARD, PIERRE
2 PIE IX
2 PLANTIER, CLAUDE-HENRI
3 ALES
3 AVEZAC
3 HAUTE-GARONNE
3 NIMES
3 PIEMONT - AU PERE EMMANUEL BAILLY
- BAILLY_EMMANUEL aa
- Rome, 16 mars [18]78.
- 16 mar 1878
- Rome
Cher ami,
1° Informez-vous de l’effet produit par ma lettre à l’évêque(1). Je lui prouve que Léon XIII ne conciliera rien.
2° Je lui parle d’une discussion très vive avec Mme de Montalembert, qui devant moi disait du mal de Mgr Plantier. Je l’ai relevée du péché de paresse et j’en ai profité pour lui dire ma façon de penser sur son Dupanloup.
3° Les 1.000 francs, souscrits par l’Assomption, n’ont jamais passé par mes mains. C’est Picard qui le sait, et non pas moi. Il ne me les a jamais remis.
4° Il faut ouvrir la caisse des reliques. Remettez le corps de sainte Fabienne à Mère M.-Gabrielle, celui de sainte Cornélie aux Oblates. Ne l’oubliez pas.
5° J’écris à l’évêque, mais que le Barnouin sache l’effet produit.
6° Inutile de publier ma lettre sur la cavalcade(2), mais lisez-la à M. Barnouin qui en parlera. Mercurelli est toujours à son poste. Il fait toujours son service, comme sous Pie IX.
Quant aux dix enfants(3), je les abandonne à votre sagesse.
La révolution italienne se précipite de plus en plus dans l’abîme. Le ministère n’est pas nommé; ce sera ce qu’il y a de plus rouge.
Faites dire à Mlle Fabre que je serai peut-être à Nîmes pour la Semaine Sainte. Toutefois, je ne puis rien dire, cela dépend d’une circonstance.
Je vous embrasse bien tendrement et je m’applaudis de mon séjour prolongé ici pour asseoir la Congrégation. J’emporte de très utiles renseignements.
Totus tibi.
E.D’ALZON.
Décidément je ne puis accepter le père du P. Alexis à Alès, non pour lui, mais pour le précédent.
E.D'ALZON2. C'est la *Lettre* 6230, qui parut dans l'*Assomption*.
3. Que M. Gros, curé d'Avezac en Haute-Garonne, a préparés pour des maisons comme les alumnats (E. Bailly, 12 mars).