DERAEDT, Lettres, vol.12 p. 479

30 may 1878|3 jun 1878 Nîmes PICARD François aa

Je ne viendrai à Paris qu’en novembre – Envoyez donc des imprimés – Le P. Auguste.

Informations générales
  • DR12_479
  • 6352
  • DERAEDT, Lettres, vol.12 p. 479
  • Orig.ms. ACR, AF 274; D'A., T.D. 26, n. 657, p. 231.
Informations détaillées
  • 1 ASSOMPTIONNISTES
    1 CHAPITRE GENERAL DES ASSOMPTIONNISTES
    1 COLLEGE DE NIMES
    1 CRITIQUES
    1 ETRANGER
    1 EXAMINATEURS DES RAPPORTS
    1 MAITRES
    1 NOTRE-DAME DE SALUT
    1 PAIX DE L'AME
    1 PARENTS D'ELEVES
    1 PENSEE
    1 PREMIERE COMMUNION
    1 PUBLICATIONS
    1 SUPERIEUR
    1 VOYAGES
    2 CABRIERES, ANATOLE DE
    2 COT, AUGUSTE
    2 COURCY, MARIE-GABRIELLE DE
    3 ARRAS
    3 CLAIRMARAIS
    3 NIMES
    3 PARIS
  • AU PERE FRANCOIS PICARD
  • PICARD François aa
  • Nîmes, le 30 mai 1878.
  • 30 may 1878|3 jun 1878
  • Nîmes
  • Evêché|de Nîmes
La lettre

Bien cher ami,

Je croyais vous avoir dit que je ne me déciderai pas à aller à Paris pour l’Exposition. Ne comptez pas sur les examinateurs pour cette année, et cela sans mauvaise volonté. Seulement, je ne compte aller à Paris qu’en novembre. Je réunirai les Pères de la province de Nîmes, j’arriverai avec leurs pleins pouvoirs et je pense que leurs idées seront en tout conformes aux vôtres. Je le crois, du moins, car après le tiraillement du dernier Chapitre et de la réunion de l’an dernier, j’ai la conviction que l’apaisement se fait et que nous arriverons aux mêmes conclusions pratiques.

J’ai reçu un tout petit paquet d’imprimés(1); j’en ai volé un à la Mère Marie-Gabrielle, mais il est déjà distribué. La maison a sa première communion dimanche.

Adieu, et tout à vous.

E.D’ALZON.

Le 3 juin -Si, comme je l’ai demandé à plusieurs reprises, j’avais eu suffisamment d’imprimés, je m’en serais servi hier avec les parents étrangers pour l’établir. J’espère que cette quatrième et humble supplique sera exaucée.

J’ai causé tout à l’heure avec Mgr de Cabrières du P. Auguste Cot. Le voulez-vous pour Arras ou pour Clairmarais? Je le somme de rentrer au bercail, mais il faudra l’éloigner de son pays. Réponse, si cela vous est possible, au plus tôt. Il est bon professeur et avait fait du bien aux enfants.

Tout à vous.

E.D'ALZON.
Notes et post-scriptum
1. De Notre-Dame de Salut.