DERAEDT, Lettres, vol.13 , p. 152

• DR13_152
• 6744
• DERAEDT, Lettres, vol.13 , p. 152
• Orig.ms. ACR, AH 234; D'A., T.D. 28, n. 581, p. 173-174.

• 1 COLERE
  1 COLLEGE DE NIMES
  1 FONCTIONNAIRES
  1 POLITIQUE
  1 PRIEURE DE NIMES
  1 REPUBLICAINS ADVERSAIRES
  1 SUPERIEUR GENERAL
  1 TRAVAIL DE L'ETUDE
  2 BARAGNON, NUMA
  2 BELLUOMINI, GIOVANNI
  2 DUMAREST, PAUL
  2 GUIDI, JEAN-BAPTISTE
  2 PICARD, FRANCOIS
  3 MONTPELLIER
  3 NIMES
  3 PARIS
  3 VERSAILLES
• AU PERE VINCENT DE PAUL BAILLY
• BAILLY_VINCENT de Paul aa
• Nîmes, 16 juillet [18]79.
• 16 jul 1879
• Nîmes

Que les républicains soient frottés ainsi le jour de la Saint-Henry, c’est fort. (Simple note)(1). Guidi part dans une heure, mais il voltigera entre Nîmes et Paris (autre note). Baragnon avait eu la bonté de me télégraphier de Versailles. Il me semble qu’il y a là un signe du ciel. Quant au microphone, je croyais que c’était une plaque, mais je me suis trompé. Le P. Picard vient-il? Je suis ici jusqu’au 29. S’il ne le peut, qu’il m’envoie son travail. Dans la lettre au supérieur des Augustins, il a mis deux ab et un a aux trois premières lignes(2); je m’en suis aperçu après coup. Je suffoque en voyant à l’Assomption de Nîmes et de Montpellier comme les têtes travaillent. L’envie me prend de m’en aller. Nous pouvons nous chamailler, mais pas de cette façon (Dernière note).

Totus tibi.

Ici, fiasco complet le 15. Le préfet lui-même n’a pas illuminé. Qu’en dites-vous?