- V2-248
- 0+380|CCCLXXX
- Vailhé, LETTRES, vol.2, p.248
- 1 ECOLES
1 MALADIES
2 CART, JEAN-FRANCOIS
2 CORMENIN, LOUIS-MARIE
2 DUPIN, ANDRE
2 REDIER, EUGENE-ANTOINE
2 RENDU, AMBROISE
2 SALVANDY, NARCISSE DE
3 SOMMIERES - A MONSIEUR L'ABBE BOUCARUT.
- BOUCARUT Abbé
- le 16 mai 1845.]
- 16 may 1845
- [Paris,
Mon cher collègue,
M. Rendu, que j’ai trouvé enfin, me donne les espérances les plus heureuses pour votre établissement de Sommières. Sous peu de jours, je vous donnerai quelque chose de plus positif(1).
Je suis ici sans rien faire, à cause de la maladie du ministre qui ne peut s’occuper d’affaires. J’envoie à Monseigneur la brochure de Cormenin(2). Peut-être, quand il sera reposé, aura-t-il la bonté de me répondre. Veuillez lui offrir mes hommages et faire mes compliments à M. Rédier. J’ai un oeil en assez mauvais état, ce qui me rend pénible d’écrire. J’ai voulu cependant vous dire ce que vous fait espérer le bon M. Rendu.
Adieu. Tout à vous du fond du coeur.
E. d’Alzon.
16 mai.
E.D'ALZON2. *Oui et non au sujet des ultramontains et des gallicans*, par Timon (qui n'est ni l'un ni l'autre). Paris, Pagnerre, 1845, in-32 de 96 pages. Cette brochure, qui a trait au *Manuel* condamné de Dupin, est rédigée comme un catéchisme, sous forme de demandes et de réponses.