Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.123

1851 [Nîmes, O_NEILL_THERESE Emmanuel ra

Il lui transmet une lettre de Mère M.-Eugénie, et lui demande de prier pour une grosse affaire qui se fait à Nîmes.

Informations générales
  • T1-123
  • 111
  • Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.123
  • Orig.ms. AC R.A.; D'A., T.D. 35, n. 12, pp. 142-143.
Informations détaillées
  • 2 MILLERET, MARIE-EUGENIE
    3 ANGLETERRE
  • A SOEUR THERESE-EMMANUEL O'NEILL
  • O_NEILL_THERESE Emmanuel ra
  • ? 1851].
  • 1851
  • [Nîmes,
La lettre

Voici, ma très chère fille, la lettre de notre Mère; elle vous intéressera, et je pense que vous devez la garder. Ce sont des pièces très précieuses pour plus tard. Nous verrons plus tard aussi ce que nous devons penser de la stupidité de notre Mère. Peut-être, en nous y mettant à deux, finirons-nous par la découvrir[1].

J’ai oublié de vous recommander très spécialement une grosse affaire qui se fait à Nîmes, ou peut se faire si Dieu le veut[2].

Tout vôtre, ma chère fille, avec la plus paternelle affection, en Notre-Seigneur.

Dimanche.

E. D'ALZON.
Notes et post-scriptum
1. A défaut de la lettre dont il est question, on peut au moins dire que l'expression soulignée doit être reprise de la lettre de la correspondante, que le P. d'Alzon n'a pas gardée. Mère M.-Eugénie elle-même sera surprise du comportement de Soeur Thérèse-Emmanuel à son retour d'Angleterre. Elle en écrira au P. d'Alzon, le 21 mai 1852. La divergence de vues portait sur l'érection d'une province d'Angleterre, que la Mère jugeait prématurée.
2. Peut-être la fondation de la Maison de hautes études.