Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.195

1 sep 1852 Nîmes, COMMARQUE Marie-Thérèse ra

Vertus qu’il compte trouver en elle à son arrivée à Paris.

Informations générales
  • T1-195
  • 178
  • Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.195
  • Orig. ms. AC R.A.; D'A., T.D. 35, n. 9, p. 134.
Informations détaillées
  • 1 RELIGIEUSES DE L'ASSOMPTION
    1 VERTUS RELIGIEUSES
    2 BOURDET, VIRGINIE
    3 AMIENS
    3 NIMES
    3 PARIS
  • A SOEUR MARIE-THERESE DE COMMARQUE
  • COMMARQUE Marie-Thérèse ra
  • le 1er sept[embre] 1852.
  • 1 sep 1852
  • Nîmes,
  • Maison de l'Assomption
La lettre

Je ne veux pas me présenter devant vous, ma chère fille, sans vous avoir répondu au moins deux mots. Depuis que j’ai reçu votre lettre, la distribution des prix, l’entrée en vacances et une retraite m’ont horriblement mis en retard de tout, et surtout de ma correspondance. Je suis bien heureux, mon enfant, d’apprendre de vous que vous faites quelques progrès dans la vertu. Plaise à Notre-Seigneur que cela se soutienne et que, lorsque j’arriverai à Paris[1], je vous trouve douce, patiente, humble, égale d’humeur!

Adieu, ma chère fille. Ceci n’est qu’un petit mot. Voudriez-vous dire à notre Mère que je fais préparer le trousseau de la petite Bourdet? On me dérange. Je vous laisse, en vous conjurant de penser à prier pour moi.

Tout vôtre en Notre-Seigneur

E. D'ALZON.
Notes et post-scriptum
1. Le P. d'Alzon quitte Nîmes le 5 septembre pour Paris et y demeure jusqu'au 2 octobre. Le 16 septembre, il se rend à Amiens. Le 21 septembre, Mère M. Eugénie renouvelle le voeu d'obéissance qu'elle lui avait fait le 24 avril 1846 (cf. *Lettres III*, p. 50, note 3). Le 2 octobre, il achève une retraite donné aux Religieuses de l'Assomption.