Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.207

3 nov 1852 Nîmes, MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse

Il lui demande ses services pour avoir un professeur et s’en remet à son goût pour un calice.

Informations générales
  • T1-207
  • 190
  • Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.207
  • Orig.ms. ACR, AD 848; D'A., T.D. 21, n. 105, pp. 67-68.
Informations détaillées
  • 1 CIBOIRE
    1 MAITRES
    2 LAURENT, CHARLES
  • A LA R. MERE MARIE-EUGENIE DE JESUS
  • MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse
  • le 3 nov[embre] 1852.
  • 3 nov 1852
  • Nîmes,
  • Maison de l'Assomption
La lettre

Ma chère fille,

Merci de la peine que vous prenez pour notre professeur; il nous en faut un. Ou il se formera à la maison, ou l’an prochain nous aurons le temps d’en chercher un autre. Soyez assez bonne pour le retenir à 3.000 francs, en lui demandant trente heures par semaine. J’écris au P. Laurent pour un ciboire qu’on veut me donner. Je ne suis pas pressé, si, en attendant, j’ai quelque chose de bien. Je crois qu’on irait jusqu’à 1.000 francs; j’invoque votre goût[1].

Adieu, ma chère fille. Je n’ai qu’une minute. Priez pour une douzaine de mes novices, qui sont à Mireman à faire leur retraite.

E. D'ALZON.
Notes et post-scriptum
1. Il sera évidemment en pur style gothique <>.