Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.218

26 nov 1852 Nîmes, MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse

Merci pour l’offre qu’elle lui fait et qu’il ne peut accepter.

Informations générales
  • T1-218
  • 202
  • Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.218
  • Orig.ms. ACR, AD 856; D'A., T.D. 21, n. 113, p.72.
Informations détaillées
  • 1 BATIMENTS DES COLLEGES
    2 GOSCHLER, ISIDORE
    2 GRATRY, ALPHONSE
    2 LAURENT, CHARLES
    3 PARIS, COLLEGE STANISLAS
  • A LA R. MERE MARIE-EUGENIE DE JESUS
  • MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse
  • le 26 nov[embre] 1852.
  • 26 nov 1852
  • Nîmes,
  • Maison de l'Assomption
La lettre

Je n’ai qu’une demi minute. Je veux vous remercier de votre offre si bonne, je ne l’accepte pas[1]. Le P. Laurent vous dira tout au long pourquoi, je lui écris de vous lire ma lettre. Votre santé me préoccupe: suspendez vos austérités, si elles vous fatiguent à ce point. Moi, je vais à merveille, et certes la besogne ne me manque pas.

Adieu, avec un coeur bien reconnaissant.

E. D'ALZON.
Notes et post-scriptum
1. Dans sa lettre du 24 novembre, Mère M.-Eugénie, informée par le P. Laurent de la possibilité de reprendre le collège Stanislas à Paris, appuyait fortement cette proposition, en ajoutant: <>. Mais la proposition était sans fondement, car l'un des actionnaires avait parlé trop hâtive ment de la gestion ruineuse de l'abbé Goschler, qui avait succédé à l'abbé Gratry comme directeur du collège.