Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.267

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• Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.267
• Orig.ms. ACR, AD 882; D'A., T.D. 21, n. 139, p. 85.

• 2 CHAPOT, JEAN-JACQUES-FRANCOIS
  2 EVERLANGE, MARIE-EMMANUEL D'
  2 GOUY, DE
  2 GOUY, MARIE DE JESUS DE
  2 MAC NAMARA, MARIE-MARGUERITE
  2 PUGIER
  2 ROCHEMAURE, MADAME DE
  2 ROCHEMAURE, MADEMOISELLE DE
  2 SAUGRAIN, HIPPOLYTE
  2 SURVILLE, CHARLES DE
  2 SURVILLE, MADAME CHARLES DE
  3 NIMES
  3 PARIS, RUE BONAPARTE
• A LA R. MERE MARIE-EUGENIE DE JESUS
• MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse
• le 22 avril 1853].
• 22 apr 1853
• [Nîmes,

Je reçois encore une lettre de vous, ma chère fille, je vais y répondre un peu en courant. Je me doutais du peu d’affection de Mme de Rochemaure pour Nîmes. La personne qui peut le plus sur elle, c’est M. de Surville. Vous pouvez l’aborder par M. Chapot. Comme on a changé le nom de la rue, je crois que c’est rue Bonaparte, 35, mais je ne l’affirme pas. Ils logent tous les deux au même numéro[2].

Je vais faire la demande pour les ornements, mais je la modifierai un peu[3]. J’ai remis la note de Soeur M[arie]-M[arguerite] E[conome] à Frère Hippolyte; je m’occuperai de celle de Soeur M[arie]-Em[manuel][4].

M. de Surville et sa famille sont les seules personnes qui puissent quelque chose sur Mme de Rochemaure. Si la fille a le caractère de la mère, je plains le futur.