Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.301

21 jun 1853 [Nîmes, MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse

Peut-elle placer une personne pour apprendre le métier de broderie? – Faiblesse physique. Souci pour la conversion des protestants.

Informations générales
  • T1-301
  • 270
  • Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.301
  • Orig.ms. ACR, AD 898; D'A., T.D. 21, n. 155, p. 95.
Informations détaillées
  • 1 CONVERSIONS
    1 EXTENSION DU REGNE DE JESUS-CHRIST
    1 ORNEMENTS
    1 PROTESTANTISME
    1 SALUT DES AMES
    1 SYMPTOMES
    1 TIERS-ORDRE FEMININ
    2 REVEILHE, MADAME
    3 PARIS
  • A LA R. MERE MARIE-EUGENIE DE JESUS
  • MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse
  • le] 21 juin (1853].
  • 21 jun 1853
  • [Nîmes,
La lettre

En relisant la lettre relative aux ornements, il me semble que la personne qui se chargera de les porter peut s’en servir très avantageusement. Réflexion faite, je vous l’envoie.

Y aurait-il à Paris une maison, où l’on pût placer une jeune personne, pour qu’elle apprît le métier de broderie en ornements, sauf à payer quelque chose? Ce serait comme une providence, un peu au-dessus du commun. Il s’agit d’une nièce de Mme Réveilhe, dont le père a mangé toute la fortune.

Je suis tous ces jours-ci d’une faiblesse physique déplorable, et pourtant si persécuté de la pensée que le moment est venu de travailler à la conversion des protestants que j’en parle à tout le monde. C’est une idée fixe. Je vous en écrirai plus tard. Priez et faites prier le Tiers-Ordre dans ce but. Il s’agit de l’extension du règne de Notre-Seigneur.

E. D'ALZON.
Notes et post-scriptum