Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.364

Je ne vous écris pas, parce que j’ai long à vous dire et que je ne puis tenir ma plume. Cela passera, car je vais assez bien. Mille souhaits de bonne année! J’ai mille choses à vous dire, et une entre autres pour laquelle je vous conjure de bien prier[2]. Mille fois vôtre, ma chère enfant, mais avec un coeur que je voudrais être de cristal, pour que vous puissiez voir tout ce qu’il est pour vous.

E. D'ALZON.

1. Le P. Vailhé date: *1er janvier;* nous croyons devoir maintenir une certaine imprécision, parce que le P. d'Alzon, qui a écrit le 31 décembre 1853, s'excuse de ne pouvoir écrire à nouveau, et pour tenir compte d'une allusion faite dans sa lettre.
2. A quelle chose importante, le P. d'Alzon peut-il faire allusion? A titre d'hypothèse, nous pensons à la lettre que l'abbé Etienne lui a écrite de Rome le 3 janvier *(lettre 279,* note 2).
<> [...] <>. L'abbé Etienne dit alors tout l'intérêt que le Pape et la Congrégation de la Propagande lui ont manifesté pour son *Institut de la Consolation de Jésus,* <>. Dès lors, n'y a-t-il pas dans <> la réalisation de la condition mise par le P. d'Alzon à l'union de leur fondation? Et l'abbé Etienne d'en tirer les conséquences pratiques pour les oeuvres, le noviciat et la règle sans que ne soit perdu aucun des avantages acquis - La trace d'une réponse du P. d'Alzon nous échappe, bien qu'elle ait été demandée par l'abbé Etienne.