- T1-377
- 343
- Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.377
- Orig.ms. ACR, AP 274; D'A., T.D. 34, n. 7, pp. 4-5.
- 1 AMOUR DIVIN
1 DESIR DE LA PERFECTION
1 FORMATION DES JEUNES PROFES
1 NEGLIGENCE
1 ORAISON
1 PRONONCIATION ROMAINE
1 RECITATION DE L'OFFICE
2 CONSTANT, MADAME
2 DUMAS, PIERRE
2 LAURENT, CHARLES
2 MARC, FRERE
2 MILLERET, MARIE-EUGENIE
2 PINTARD, AUGUSTE
2 POULIN, FREDERIC
2 TISSOT, PAUL-ELPHEGE
3 CLICHY-LA-GARENNE
3 NIMES - AU FRERE ETIENNE PERNET
- PERNET Etienne aa
- le] 26 janv[ier 18]54.
- 26 jan 1854
- [Nîmes,
J’ai un vif regret de ne vous avoir pas encore répondu, mon cher enfant, et ce n’est certes pas faute de penser à vous[1]. Pardonnez-moi, je vous prie, ma négligence trop prolongée. Je me sens coupable de ne pas vous adresser quelques paroles, à l’aide desquelles votre âme se sanctifierait un peu plus. Notre-Seigneur, qui ne vous a pas tout départi, vous a donné un coeur si bon, si délicat, que ce m’est un très profond chagrin de ne pas mieux le cultiver. Tournez-vous, croyez- moi, tous les jours, vers Notre-Seigneur et devenez un homme d’une grande oraison. Ne vous découragez pas; il y a dans la sincérité de votre désir d’aller à Notre-Seigneur, quelque chose qui touchera le coeur de Dieu. Faites de votre mieux et ne vous tracassez pas du reste.
Je voudrais bien envoyer tout de suite quelque chose au P. Laurent. En ce moment, je ne le puis pas absolument, mais j’ai lieu d’espérer qu’il n’en sera pas toujours ainsi. Mille choses affectueuses au P. Tissot et à Frère Auguste, puis à tous les maîtres[2].
Adieu, mon enfant. Tout à vous, du fond du coeur, en Notre- Seigneur.
E. D'ALZONDe son côté, Mère M.-Eugénie, qui voyait régulièrement le P. Laurent, écrit au P. d'Alzon, le 20 janvier: <
2. D'après ses lettres du 4 et 5 février, le P. Laurent a dû recevoir <