Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.417

29 apr 1854 Nîmes, COMBIE_JULIETTE

Il voudrait bien la rencontrer avec sa soeur pour reprendre l’oeuvre des petites protestantes.

Informations générales
  • T1-417
  • 379
  • Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.417
  • Orig.ms. ACR, AM 111; D'A., T.D. 37, n. 1, p. 80.
Informations détaillées
  • 1 ADORATRICES DU SAINT-SACREMENT
    1 COLLEGE DE NIMES
    1 ENGAGEMENT APOSTOLIQUE DES LAICS
    1 PETITES PROTESTANTES
    1 TIERS-ORDRE FEMININ
    2 COMBIE, MARIE-CATHERINE
    2 GERMER-DURAND, MADAME EUGENE
    2 NARBONNE-LARA, MADAME DE
    2 SAGE, ATHANASE
    2 THERESE, SAINTE
    2 VAILHE, SIMEON
    3 NIMES, MAISON PARADAN
  • A MADEMOISELLE JULIETTE COMBIE
  • COMBIE_JULIETTE
  • [le 29 avril 1854].
  • 29 apr 1854
  • Nîmes,
  • Maison de l'Assomption
La lettre

Ma chère enfant[1],

L’oeuvre qui semblait compromise semble devoir reprendre sous une forme nouvelle. Voulez-vous venir demain chez Mme de Narbonne à midi et demi? Nous en causerons. Si Louise peut venir, qu’elle vienne. Si vous ne pouvez venir, envoyez Louise. Souvenez-vous que je vous pose toujours en directrice de l’oeuvre. Vous devez parler en conséquence.

Tout à vous en Notre-Seigneur.

E. D'ALZON.
Notes et post-scriptum
1. Juliette était la soeur de Louise Combié; c'est avec elle que le P. d'Alzon devait inaugurer l'oeuvre en faveur des petites protestantes, laquelle donnera le jour à l'Association de Saint-François de Sales. Cette oeuvre débute très modestement dans la maison qu'habitaient Mmes Germer-Durand et de Narbonne-Lara, toutes deux tertiaires de l'Assomption, ainsi que les demoiselles Combié. Juliette Combié devait en être la directrice, et comme elle portait le nom de Soeur Thérèse-Juliette dans le Tiers-Ordre, l'oeuvre fut placée sous le patronage de la vierge d'Avila, le 15 octobre., quand elle s'installa dans la maison Paradan, située en face du collège (VAILHE, *Vie du P. d'Alzon,* II, p. 164). Juliette Combié fut aussi l'une des six premières Adoratrices; elle resta toute sa vie très attachée au P. d'Alzon et le seconda dans ses oeuvres. Il nous reste 89 lettres que le P. d'Alzon lui adressa de 1854 à 1860. D'autres, sans doute plus nombreuses, n'ont pas été conservées. <>. (SAGE, *Un maître spirituel,* p. 67).