Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.485

5 nov 1854 [Nîmes, DONEY Mgr

Observations générales sur le climat de l’Eglise en France, et sur l’état des esprits parmi les membres du clergé. – Indications plus particulières sur les diocèses traversés en allant de Marseille à Paris.

Informations générales
  • T1-485
  • 450
  • Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.485
  • Minute, non datée, dont le titre est de la main du P. d'Alzon. ACR, AN 234; D'A., T.D. 39, n. 2, pp. 170-176.
Informations détaillées
  • 1 AMOUR DES AISES
    1 AMOUR DU PAPE
    1 APOSTOLAT DE LA CHARITE
    1 ARMEE
    1 BAS CLERGE
    1 CLASSES SUPERIEURES
    1 CLERGE FRANCAIS
    1 CORRUPTION
    1 DOCTRINES ROMAINES
    1 DROIT CANON
    1 ECOLES
    1 EDUCATION EN FAMILLE
    1 ESPRIT CHRETIEN
    1 EVECHES
    1 EVEQUE
    1 FOI
    1 GALLICANISME
    1 GUERRE
    1 HAUT CLERGE
    1 JURIDICTION ECCLESIASTIQUE
    1 LACHETE
    1 LIBERTE DE L'ENSEIGNEMENT
    1 LOI CIVILE
    1 NONCE
    1 PEUPLE DE DIEU
    1 PEUR
    1 PRESSE CATHOLIQUE
    1 PROTESTANTISME ADVERSAIRE
    1 RETOUR A L'UNITE
    1 REVOLUTION
    1 SAINT-SIEGE
    1 ULTRAMONTANISME
    1 VERTU DE FORCE
    2 AUBERT, ROGER
    2 BAYLE, MARC-ANTOINE
    2 BERNARD, LOUIS
    2 BIZZARRI, GIUSEPPE
    2 BONALD, LOUIS-JACQUES-MAURICE DE
    2 CAVAL, SULPICIEN
    2 CHATROUSSE, PIERRE
    2 COUSIN, ABBE
    2 DARCIMOLES, PIERRE-M.
    2 DEBELAY, JEAN-MARIE-MATHIAS
    2 DREUX-BREZE, PIERRE-SIMON DE
    2 DU LAC, JEAN-MELCHIOR
    2 DUPANLOUP, FELIX
    2 EUGENE DE MAZENOD, SAINT
    2 FOISSET, JOSEPH-THEOPHILE
    2 FORNARI, RAFFAELE
    2 FORTOUL, HIPPOLYTE
    2 GINOULHIAC, JACQUES-MARIE-ACHILLE
    2 GOUSSET, THOMAS
    2 GREGOIRE XVI
    2 GUIBERT, JOSEPH-HIPPOLYTE
    2 JOUVE, ESPRIT-GUSTAVE
    2 LAMENNAIS, FELICITE DE
    2 MARGUERYE, FREDERIC DE
    2 MARTIN, ABBE-AVIGNON
    2 MATHIEU, JACQUES-MARIE
    2 MILLE, ABBE
    2 MILLERET, MARIE-EUGENIE
    2 NADAL, ABBE
    2 PIE, LOUIS
    2 RIVET, FRANCOIS
    2 SALINIS, ANTOINE DE
    2 SERRES, LOUIS-AMBROISE-GUSTAVE DE
    2 SIBOUR, MARIE-DOMINIQUE
    3 AIX
    3 AMIENS
    3 AUTUN
    3 AVIGNON
    3 BESANCON
    3 CRIMEE
    3 DIJON
    3 FRANCE
    3 GRENOBLE
    3 LYON
    3 MARSEILLE
    3 MIDI
    3 MONTAUBAN
    3 MOULINS
    3 ORLEANS
    3 PARIS
    3 POITIERS
    3 ROME
    3 SALETTE, LA
    3 VALENCE
    3 VIVIERS
  • QUELQUES NOTES SUR L'ETAT DE LA FRANCE
  • DONEY Mgr
  • le 5 novembre 1854].
  • 5 nov 1854
  • [Nîmes,
La lettre

Si Monseigneur B.[1] se rend en France et qu’il veuille étudier par lui-même l’état des esprits dans le monde religieux, je me permets de l’inviter à faire les observations suivantes:

1° Il est certain que la peur des révolutions ayant diminué parmi nous, l’esprit de foi a également diminué dans les classes élevées. C’est un fait très sensible et sur lequel tout le monde, je crois, est d’accord.

2° En même temps et par une disposition toute providentielle, l’esprit de l’armée devient de plus en plus chrétien, sans que l’on ait fait beaucoup pour développer ce bon esprit.

3° Les effets de la loi sur la liberté de l’enseignement commencent à se faire sentir. Toutefois, il ne faut pas se faire d’illusion. L’affaiblissement des moeurs et l’amour du bien-être qui domine dans les familles, réagissent sur les enfants. Il faut pourtant remarquer que la guerre[2] a relevé un peu leur moral. Dans les établissements d’éducation que je connais, les enfants veulent presque tous se faire aujourd’hui ou militaires ou prêtres.

4° Les bonnes oeuvres vont se multipliant en France. Je ne sais pas bien si, pour un grand nombre, ce n’est pas une affaire de mode. Dans tous les cas, je prierai Monseigneur B. d’étudier en même temps les bonnes oeuvres des protestants. Il y a dans les dispositions charitables de cette secte quelque chose qui m’effraie et me console à la fois. Je suis effrayé des âmes qu’ils perdent avec leur argent. J’espère que leurs efforts pour acheter des consciences sont les dernières tentatives de l’erreur expirante.

Quant à l’état des esprits en France parmi les membres du clergé, je crois qu’il faut remarquer également:

1° Que, depuis vingt-cinq ans environ[3], un courant, indépendant des évêques, a poussé les esprits vers Rome. Qu’aujourd’hui, ce mouvement paraisse s’arrêter, au moins partiellement, c’est ce dont je suis profondément convaincu, c’est ce dont sont convaincus presque tous les hommes attachés aux doctrines romaines. A quoi cela tient-il? A plusieurs causes.

Je me permets d’en indiquer quelques-unes. L’Univers s’est posé en vaincu[4]. Le public a conclu qu’à Rome ses adversaires avaient eu gain de cause. Cela est vrai ou cela est faux, ce n’est pas ce que j’examine, je constate l’impression générale. Elle a été celle-ci: Rome abandonne ses plus chauds défenseurs; elle n’a d’encouragements que pour ceux qui la respectent le moins, par exemple pour l’archevêque de Paris[5]. Rome ne tient donc pas tant à ce qu’on rappelle ses droits. Donc on peut, sans inconvénient, laisser de côté des doctrines qui ne font que procurer la malveillance de certains évêques et du gouvernement. Oserai-je ajouter que l’on a cru voir qu’il était facile de faire peur à Rome? Cette conviction, en France du moins, ne développe pas le sentiment du respect et affaiblit même celui de l’amour. En un mot, les gallicans commencent à espérer la victoire, les ultramontains sont découragés. Je ne parle pas de la magnifique position que le cardinal Fornari avait faite au nonce en France et qui a été perdue depuis. Peut-être pourra-t-elle être reconquise plus tard.

En face de ce triste côté de la situation, il faut ajouter cependant qu’au fond des intelligences les plus distinguées, dans le clergé du second ordre, se remue un besoin de restauration par le retour aux lois ecclésiastiques[6]. Or, une foule de circonstances favorisent ce besoin de régulariser les situations par l’étude des canons et leur application à l’état actuel des choses.

Ainsi, par exemple, les Chapitres commencent à se douter qu’à côté de certains devoirs, l’Eglise leur reconnaît certains droits. Si Rome profite de la tendance actuelle des Chapitres à vouloir être enfin constitués canoniquement, on peut être sûr qu’avant peu tous les chanoines seront entièrement dévoués au Saint-Siège. La conséquence sera, sans doute, que l’autorité épiscopale sera affaiblie, mais c’est à la prudence, qui est le propre de Rome, d’examiner: 1° Si, en fait, cette puissance n’est pas exorbitante; 2° Si, en la réglant par le retour aux lois anciennes, on n’affaiblira pas d’autant le gallicanisme.

Autre exemple. La plupart des évêques désirent que les curés logent avec leurs vicaires. Cette cohabitation, qui a été recommandée par tant de Papes, soit en France, soit en Allemagne, partout où l’on a voulu relever les moeurs du clergé, aura une conséquence que les évêques ne prévoient pas. Les curés vont demander le droit que les canons leur accordent de choisir eux-mêmes leurs vicaires, droit que depuis le concordat ils n’ont jamais exercé. Pour peu que Rome leur accorde quelque chose sur cet article, qui va être soulevé au premier jour (on peut en être sûr), on peut être sûr aussi que la masse des prêtres qui ont besoin de vicaires proclamera avec bonheur la puissance du Saint-Siège.

Il n’est pas une seule question de quelque gravité, dont on ne puisse se faire une arme en faveur de la puissance pontificale, si l’on veut; mais pour atteindre ce but, il faudra un certain courage, car il est certain que beaucoup de réclamations s’élèveront du côté de l’épiscopat.

Encore, ici, peut-être pourrait-on remarquer que si le choix pour les évêchés est surveillé convenablement par le nonce, il sera avant peu plus facile de trouver des hommes dévoués à Rome qu’il ne l’était autrefois. On ne sait peut-être pas assez à Rome que, sauf les exceptions, tout le clergé qui a de 25 à 45 ans, est ultramontain en France. Cette disposition des esprits effraie certains évêques et ils appellent cela du presbytérianisme. Il faut reconnaître, sans doute, que plusieurs prêtres, en effet, n’ont pas toujours le sentiment de respect convenable envers l’autorité, mais cette absence de respect est plus fréquente encore chez les gallicans que chez les ultramontains.

Que conclure de ces quelques remarques? 1° Que Rome doit surveiller le mouvement gallican qui s’opère en France depuis dix-huit mois[7]; 2° Qu’une foule de questions, du genre de celles que j’ai indiquées, vont surgir et fournir l’occasion d’augmenter l’influence romaine, si l’on sait en profiter; 3° Que Rome est assurée de faire ce qu’elle voudra en France, pourvu qu’on sache qu’elle ne craint pas et qu’elle ne témoigne pas une égale bienveillance à ses enfants les plus dévoués, comme aux enfants prodigues mais non encore repentants.

Si maintenant Monseigneur B. désire quelques notes sur les hommes qu’il verra en France, je puis me mettre à ses ordres pour lui en fournir[8].

Si maintenant Mgr B. veut des détails sur les divers pays qu’il pourra parcourir, je vais supposer qu’il se rend de Marseille à Paris et je lui indiquerai ce que je sais.

Marseille. – L’évêque[9] se croit ultramontain, à condition qu’il gouverne son diocèse à son gré et sans tenir compte des canons. Les curés doivent prêter serment, avant d’être nommés à un poste inamovible, qu’ils donneront leur démission dès qu’elle sera demandée. Il n’y a, à ma connaissance, à Marseille que deux prêtres que Mgr B. pourrait faire causer: M. Baile, aumônier du lycée, homme très intelligent, mais un peu trop frondeur et indépendant; et M. l’abbé Cousin, directeur d’un catéchisme de persévérance, homme pieux, à bonnes idées, mais vulgaire et aimant les cancans. L’évêque de Marseille a inspiré une profonde terreur à son clergé par les très nombreux interdits qu’il a lancés. Le clergé séculier l’accuse de n’aimer que la Congrégation des Oblats, dont il est le supérieur général, et les Oblats, dans un Chapitre général, viennent de décider que désormais leur général ne pourrait être évêque.

Aix. – Je connais très peu ce diocèse. L’archevêque[10] est actif pour certaines oeuvres, peu romain, mécontent de la prépondérance que Rome acquiert tous les jours. Il exerce une certaine influence, sous l’action de l’archevêque de Besançon et de l’évêque d’Orléans[11]. Dans le temps, il écrivait beaucoup aux évêques du Midi. Depuis, son zèle s’est ralenti. Je ne connais pas de prêtre que l’on puisse faire parler, sinon M. l’abbé Mille, vicaire général, et que M. Fortoul[12] voudrait faire nommer évêque, sur la présentation de Mgr l’évêque de Grenoble et de Mgr Sibour[13].

Avignon. – L’archevêque[14] est excellent. Malheureusement, il veut être sénateur et cardinal, ce qui lui te de sa fermeté pour bien des choses. Il a un grand vicaire parfait, M. l’abbé Martin. Si sa santé le lui permettait, ce serait un évêque entièrement dans les doctrines romaines. Faire parler M. Bernard, chanoine, qui fait la plupart des mandements et la correspondance difficile de l’archevêque d’Avignon. Ils ne s’entendent pas toujours entre eux, mais l’archevêque a besoin de M. Bernard et accepte, sans en profiter, les reproches que M. Bernard lui fait sur sa faiblesse. Faire parler encore le supérieur du séminaire, M. Caval, Sulpicien, mais beaucoup plus romain que les autres membres de sa Congrégation.

Viviers. – L’évêque[15] est l’homme de plus de valeur de toute la province ecclésiastique d’Avignon. Il se dit ultramontain; il l’est s’il ne s’agit que de l’infaillibilité du Pape. C’était un des plus chauds admirateurs du Mémoire sur le droit coutumier. Il a fait un grand bien dans son diocèse par les bonnes oeuvres, mais on le dit un peu cassant. Les prêtres qui l’entourent lui sont très dévoués. En l’entendant, on les entend tous. C’est l’action du clergé des campagnes qui l’a forcé à prendre le rite romain.

Valence. – L’évêque[16] est pieux, mais très étroit, absolu et gallican. Il a eu bien des difficultés avec ses prêtres qui ont porté leurs plaintes à Rome. Là encore, l’action ultramontaine a pris quelquefois une apparence pénible d’opposition. Faire parler M. Jouve, chanoine, et M. Nadal. Le jugement de M. Jouve n’est pas toujours très sûr; il me paraît, d’une part, quelquefois exagéré, d’autres fois maladroit, quoique ses intentions soient excellentes et qu’il soit du fond du coeur dévoué au Saint-Siège.

[Grenoble. -] Si Monseigneur B. fait un détour pour aller à Notre-Dame de la Salette, il verra, en passant à Grenoble, l’évêque, Mgr Ginouilhac[17], homme pieux, savant, très adroit et très intrigant. C’est à moi que Mgr Ginouilhac disait: [[ Il faut nous débarrasser le plus possible de l’action de Rome. Voici ce que je propose: Les prêtres jugés par leurs évêques pourront [en] appeler au métropolitain, et du métropolitain au concile provincial. Ainsi Rome sera laissée de côté]]. Depuis, il m’a assuré avoir modifié ses idées. Je le désire, mais je sais que c’est un des hommes les plus dangereux de l’épiscopat, parce qu’avec de l’ambition il est pieux et savant. C’est l’archevêque de Besançon[18] qui l’a fait nommer.

[Lyon. -] Je n’ai rien à dire du cardinal de Bonald[19]. Le clergé de Lyon est des plus arriérés pour les doctrines romaines. M. l’abbé de Serres, neveu de l’archevêque, pourra être consulté; il n’est pas aimé à cause de son amour pour les Jésuites, mais son dévouement au Saint-Siège est absolu.

[Dijon. -] Dijon est un bien pauvre pays sous tous les rapports. La foi est presque morte; l’évêque[20], sous la tutelle de l’archevêque de Besançon[21]. Faire parler M. Foisset, conseiller à la cour impériale, homme dont je ne partage pas toutes les idées, mais dont le dévouement à l’Eglise est audessus de tout.

[Autun. -] L’évêque d’Autun[22], qui est tout près, est assez romain. Il avait promis de faire tout ce qu’il pourrait pour faire reconnaître par la province ecclésiastique de Lyon la Congrégation de l’Index, mais bien des choses s’opposent à ce que ce concile soit tenu.

[Paris. -] A Paris[23] Monseigneur aura trop de connaissances, pour que j’aie rien à lui indiquer. Seulement, je me permettrai de l’engager à faire parler deux personnes: 1° M. du Lac, rédacteur à l’Univers, homme très modeste, mais l’une des meilleures têtes que j’aie jamais rencontrées;

2° La supérieure des Dames de l’Assomption, rue de Chaillot, n° 94. C’est la femme la plus remarquable que je connaisse; elle pourra fournir à Monseigneur des indications sur un monde, dans lequel les ecclésiastiques pénètrent peu.

Monseigneur sait sans doute que les principaux chefs romains en France sont le cardinal Gousset et Nosseigneurs d’Amiens, de Montauban, de Poitiers, etc.[24;] mais il ignore peut-être que l’archevêque de Reims, à force de prudence, l’évêque d’Amiens, à force d’encenser le pouvoir, ont éloigné bien du monde. Le parti se reforme autour de Monseigneur de Poitiers, appuyé par Monseigneur de Moulins[25] et une douzaine d’évêques plus ou moins légitimistes. Il reçoit, quoique de loin, les conseils de l’évêque de Montauban[26], lequel est, pour moi, l’évêque le plus distingué de France.

Notes et post-scriptum
1. Personnalité non autrement désignée.
2. La guerre de Crimée, engagée par la France et l'Angleterre, en vertu de leur alliance du 10 avril 1854, contre la Russie pour la défense de l'empire Ottoman et qui s'achèvera avec la prise de Sébastopol, le 9 septembre 1855.
3. Vers 1830. on pense à Lamennais. Mais le pape Grégoire XVI lui-même, peu après son élection, avait réédité son ouvrage: *Il trionfo della S. Sede e della Chiesa contro gli assalti dei Novatori.* Rome, 1799.
4. Réagissant contre la vaine exaspération de la *querelle des classiques,* l'encyclique *Inter multiplices* avait demandé aux journalistes plus de modération dans la forme.
5. Mgr Sibour.
6. Comme la plupart des grands courants de l'histoire de l'Eglise, le mouvement ultramontain du XIXe siècle est parti de la <>, <> et, comme toujours, la hiérarchie ne tarda pas à s'y intéresser et la papauté à le canaliser. (AUBERT, *Pontificat de Pie IX,* p. 276).
7. Cela renvoie à juin 1853; nous sommes au lendemain de la note de modération donnée par l'encyclique *Inter multiplices,* encore qu'elle soit un désaveu très net de toute forme de gallicanisme.
8. Cette phrase n'est pas reproduite dans la transcription officielle.
9. Mgr de Mazenod (1782-1861), évêque depuis 1837, béatifié en 1975.
10. Mgr Darcimoles (1802-1857), évêque d'Aix depuis 1847.
11. Le cardinal Mathieu, de Besançon, et Mgr Dupanloup, d'Orléans.
12. Ministre de l'Instruction publique et des Cultes.
13. Mgr Ginouilhac, de Grenoble, et Mgr Sibour, de Paris.
14. Mgr Debelay (1800-1863), archevêque d'Avignon depuis 1848.
15. Mgr Guibert (1802-1886), évêque de Viviers depuis 1841.
16. Mgr Chatrousse (1795-1857), évêque de Valence depuis 1840.
17. Mgr Ginouilhac (1806-1875), évêque de Grenoble depuis 1852.
18. Mgr Mathieu (1796-1875), archevêque de Besançon depuis 1834, créé cardinal en 1850.
19. Mgr de Bonald (1787-1870), archevêque de Lyon depuis 1839.
20. Mgr Rivet (1796-1884), évêque de Dijon depuis 1838.
21. Le cardinal Mathieu.
22. Mgr de Marguerye (1802-1876), évêque d'Autun depuis 1852.
23. Mgr Sibour (1792-1857), archevêque de Paris depuis 1848.
24. Mgr Gousset (1792-1866), archevêque de Reims depuis 1840. Mgr de Salinis (1798-1861), évêque d'Amiens depuis 1849. Mgr Doney (1794-1871), évêque de Montauban depuis 1844. Mgr Pie (1815-1880), évêque de Poitiers depuis 1849.
25. Mgr de Dreux-Brézé (1811-1893), évêque de Moulins depuis 1850.
26. Mgr Doney (1794-1871), évêque de Montauban depuis 1844.