Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.585

21 aug 1855 [Nîmes, MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse

Il se réserve de revenir sur sa lettre, à Paris. – Encore des hypothèses pour le siège de Nîmes.

Informations générales
  • T1-585
  • 539
  • Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.585
  • Orig. ms. ACR, AD 1023; D'A., T.D. 21, n. 319, p. 179.
Informations détaillées
  • 1 APOSTOLICITE
    1 MALADIES
    1 SOEURS CONVERSES
    2 BEILING, MARIE-LOUISE
    2 CHALANDON, GEORGES
    2 DEGUERRY, JEAN-GASPARD
    2 GOUSSET, THOMAS
    2 MALBOSC, FRANCOISE-EUGENIE DE
    2 MEIRIEU, MARIE-JULIEN
    3 AUCH
    3 DIGNE
    3 NIMES, EVECHE
    3 PARIS
    3 REIMS
  • A LA R. MERE MARIE-EUGENIE DE JESUS
  • MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse
  • le 21 août 1855 vers].
  • 21 aug 1855
  • [Nîmes,
La lettre

Ma chère fille,

Voici la lettre pour l’archevêque de R[eims]. Vous savez sur quel papier il faut la faire copier. J’ai reçu, hier, votre bonne et longue lettre; J’y répondrai à Paris[2]. Combien je plains cette pauvre Marie-Louise![3] Je demande des prières pour elle. Mlle de Malbosc demande à amener sa femme de chambre comme Soeur converse.

Mgr Chalandon sera évêque d’Auch, mais nous aurons peut-être Mgr Meirieu, év[êque] de Digne; dans ce cas, je préfère M. Deguerry[4]. Enfin, arrivez ici, vous aurez une moisson de postulantes.

De grâce, reposez-vous consciencieusement, autant que vous le pourrez, jusqu’à mon arrivée. On me dérange.

E. D'ALZON.
Notes et post-scriptum
1. Nous précisons la date avancée par le P. Vailhé; *vers le 18 août 1855,* car cette lettre accuse réception de celle écrite par Mère M.-Eugénie, datée de Paris, le 19 août 1855.
2. Lettre du 19 août dans laquelle elle répondait aux demandes qu'exprimait le P. d'Alzon dans sa lettre du 13 août (*Lettre* 536).
3. Soeur Marie-Louise Beiling, qui devait mourir le 26 août.
4. Mgr Chalandon, évêque de Belley depuis le 25 juillet 1852, devait être transféré à Aix, le 4 février 1857. - Mgr Meirieu, évêque de Digne depuis le 11 décembre 1848, devait demeurer à ce siège. - M. Deguerry était alors curé de la Madeleine, à Paris.