Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.605

10 oct 1855 [Lavagnac, ESCURES Comtesse

Juliette Combié ne peut renoncer à l’oeuvre des petites protestantes. Peut-être pourrait-elle en faire une semblable à Paris.

Informations générales
  • T1-605
  • 558
  • Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.605
  • Orig. ms. ACR, AN 68; D'A., T.D. 38, n. 68, p. 208.
Informations détaillées
  • 1 PETITES PROTESTANTES
    1 PROTESTANTISME ADVERSAIRE
    1 RELIGIEUSES DE L'ASSOMPTION
    2 COMBIE, JULIETTE
    2 PLANTIER, CLAUDE-HENRI
    3 CLICHY-LA-GARENNE
    3 GENEVE
    3 NIMES
    3 PARIS
  • A MADEMOISELLE AMELIE DE PELISSIER
  • ESCURES Comtesse
  • le 10 octobre 1855].
  • 10 oct 1855
  • [Lavagnac,
  • Mademoiselle
    Mademoiselle de Pélissier
    Vaison
    Vaucluse.
La lettre

Je reçois à l’instant, ma chère fille, une lettre de Mlle Combié qui m’apprend qu’elle ne peut semblable décider à renoncer à l’oeuvre des petites protestantes de Nîmes. Il n’y a donc plus à y songer de ce côté-là. On pourrait assez aisément la reprendre en sous-oeuvres à Paris, où les protestants font tant de ravages parmi les enfants. Mais là, je ne crois pas qu’il me fût possible de m’en occuper beaucoup, à moins que l’on ne s’établît près de Clichy, et que vous ne voulussiez vous-même vous en occuper. Voyez et réfléchissez. Du reste, j’espère bien vous voir sous peu. Je prie Notre- Seigneur, ma bonne fille, pour vous, afin que vous soyez tout ce qu’il vous demande.

Je vous bénis du fond du coeur, et j’espère vous voir bientôt. 10 oct. 55.

E. D'ALZON.
Notes et post-scriptum