Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.605

18 oct 1855 [Nîmes, MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse

Il se préoccupe de leur arrivée à Nîmes.

Informations générales
  • T1-605
  • 559
  • Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.605
  • Orig. ms. ACR, AD 1031; D'A., T.D. 21, n. 327, p. 182.
Informations détaillées
  • 1 RELIGIEUSES DE L'ASSOMPTION
    2 CABRIERES, ANATOLE DE
    2 PLANTIER, CLAUDE-HENRI
    3 NIMES
  • A LA R. MERE MARIE-EUGENIE DE JESUS
  • MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse
  • le 18 octobre 1855] jeudi soir.
  • 18 oct 1855
  • [Nîmes,
La lettre

Ma chère fille,

Votre silence me faisait deviner que vos affaires n’étaient pas terminées[1]; finissez-les vite et pour votre repos et pour notre désir de vous voir ici. J’ai quatre à cinq maisons à vous proposer. Mon Dieu, que je voudrais en trouver une bonne! Je meurs d’envie de vous voir installées, avant que l’évêque n’arrive. Quoique très bon pour moi, on ne sait pas s’il ne changerait pas[2]. M. de Cabrières vous donne un missel. Je crains que l’autel ne soit un peu petit.

Je suis un peu souffrant. A bientôt.

E. D'ALZON.
Notes et post-scriptum
1. L'achat de la Thuilerie.
2. Le P. d'Alzon avait quitté Paris le 4 octobre pour se rendre à Genève et, passant par Lyon, avant de regagner Nîmes, n'avait pu rencontrer Mgr Plantier. Il s'en était excusé au nom d'une impossibilité réelle: <>.
Répondant à cette lettre, le P. d'Alzon en reçoit une autre de Mgr Plantier datée du 14 octobre: <>. - Jugeant la présence du P. d'Alzon nécessaire à Nîmes, Mgr Plantier le conjure de ne pas se déplacer pour venir assister à son sacre, en la primatiale de Lyon, le 18 novembre.