Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.58

4 apr 1856 Montpellier, PICARD François aa

Félicitations pour sa manière de faire. -Fermeté polie avec le P. Moreau. -Instances pour la demande de noviciat. -Autres commissions.

Informations générales
  • T2-058
  • 657
  • Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.58
  • Orig.ms. ACR, AE 11; D'A., T.D. 25, n. 12, p. 12.
Informations détaillées
  • 1 CONGREGATIONS ROMAINES
    1 NOVICIAT DES ASSOMPTIONNISTES
    1 PROJET D'UNION AVEC LES PERES DE SAINTE-CROIX DU MANS
    2 BARRE, LOUIS
    2 BUQUET, LOUIS-CHARLES
    2 CHAILLOT, LUDOVIC
    2 GROLEE-VIRVILLE, LEON DE
    2 LEVY, MARIE-JOSEPH
    2 MERODE, XAVIER DE
    2 MOREAU, BASILE
    2 NINA, LORENZO
    2 VAULCHIER, LOUIS-JOSEPH DE
    3 NIMES
    3 ROME
  • AU FRERE FRANCOIS PICARD
  • PICARD François aa
  • 4 avril [18]56.
  • 4 apr 1856
  • Montpellier,
La lettre

Mon cher enfant,

Laissez-moi vous dire d’abord que je suis très content de la manière dont vous posez les questions et que je partage en tout votre manière de voir. Si le P. Moreau voit d’insurmontables difficultés dans mes propositions, je ne crois pas que nous devions aller en avant. Faites-le -lui comprendre de la façon la plus catégorique mais aussi la plus polie, en vous défiant de votre raideur. Poussez au noviciat tant que vous pourrez. Je vous ai déjà écrit et j’ai écrit au P. Moreau que je le demanderai, abstraction faite de la réunion. Poussez la demande du noviciat tant que vous pourrez; c’est là mon refrain. Conjurez M. Chaillot d’y mettre tout le zèle possible.

Mille souvenirs à MM. Barre et de Vaulchier. Si Mgr de Mérode ne met pas de zèle à notre affaire, laissons-le de côté. Si Grolée va à Rome, tâchez que M. Chaillot lui soit utile de ma part auprès de Mgr Nina(1). Si je n’écris pas à celui-ci, c’est à cause de mon illisibilité.

Adieu. Nous attendons à Nîmes le Fr. Marie-Joseph. Adieu.

E. D'ALZON
Notes et post-scriptum
1. Il s'agissait de faire appuyer auprès de Mgr Nina, sous-secrétaire de la Congrégation du Concile, une déclaration de nullité de mariage demandée par l'ancien élève de l'Assomption de Grolée-Virville, en faveur duquel le P. d'Alzon avait écrit à M. Buquet, vicaire général à Paris, le 18 juillet 1855 (Lettre 525).1. Il s'agissait de faire appuyer auprès de Mgr Nina, sous-secrétaire de la Congrégation du Concile, une déclaration de nullité de mariage demandée par l'ancien élève de l'Assomption de Grolée-Virville, en faveur duquel le P. d'Alzon avait écrit à M. Buquet, vicaire général à Paris, le 18 juillet 1855 (Lettre 525).