Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.173

31 dec 1856 [Paris, COMBIE_JULIETTE

Un mot de consolation, de remerciement et de voeux.

Informations générales
  • T2-173
  • 772
  • Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.173
  • Orig.ms. ACR, AM 157; D'A., T.D. 37, n. 47, p. 129.
Informations détaillées
  • 1 AUMONES RECUES
    1 COLLEGE DE NIMES
    1 MALADIES
    1 MARIAGE
    2 BARNOUIN, HENRI
    2 COMBIE, MARIE-CATHERINE
    2 COMBIE, MAURICE
    2 GENA, MADEMOISELLE
  • A MADEMOISELLE JULIETTE COMBIE
  • COMBIE_JULIETTE
  • fin-décembre 1856].
  • 31 dec 1856
  • [Paris,
La lettre

Soyez-en sûre, mon enfant, je vous rends justice. Votre pauvre coeur souffre et il s’en prend un peu à tout. Continuez à vous montrer telle que vous étes. Vous en avez besoin; cela vous décharge, et à qui iriez-vous, sinon à moi? Mais je suis un peu souffrant et je veux étre court. M. Barnouin ira à l’évêché chercher 150 francs pour vous. Par ce moyen je suppléerai l’argent que vous enverront les élèves de l’Assomption. Merci de vos 100 francs.

Louise, qui continue à être dans le bonheur, m’a parlé de Géna(1). Pour moi qui la connais assez, je la trouverais parfaite de sa personne.

Adieu, ma fille. Je suis un peu souffrant.

E. D’ALZON

Et moi qui ne vous souhaitais pas une bonne année!

Mlle Combié.

E.D'ALZON
Notes et post-scriptum
1. Jeune personne avec qui pensait se marier Maurice, frère de Juliette Combié.