Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.203

23 feb 1857 [Paris, GERMER_DURAND_EUGENE

Il l’assure de sa prière et de sa collaboration pour le projet qu’il a formé de continuer avec les tertiaires l’oeuvre du collège.

Informations générales
  • T2-203
  • 799
  • Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.203
  • Orig.ms. ACR, AL 124; D'A., T.D. 34, n. 90, p. 242.
Informations détaillées
  • 1 COLLEGE DE NIMES
    1 FRERES CONVERS
    1 PAQUES
    1 RETRAITE SPIRITUELLE
    1 TIERS-ORDRE MASCULIN
    1 VOCATION RELIGIEUSE
    2 ALZON, FAMILLE D'
    2 CABRIERES, ANATOLE DE
    2 PLANTIER, CLAUDE-HENRI
    3 VALBONNE
  • A MONSIEUR EUGENE GERMER-DURAND
  • GERMER_DURAND_EUGENE
  • le 23 février 1857].
  • 23 feb 1857
  • [Paris,
La lettre

Cher ami,

Je fais des prières en masse pour l’oeuvre que vous entreprenez. Tout mon coeur y est. J’ai peur qu’il n’y soit trop. Quant à ma pauvre personne, il en sera ce que Dieu voudra. Penseriez-vous que nous ferions bien d’aller nous retremper, pendant les vacances de Pâques, à Valbonne? Le T[iers]-O[rdre], bien entendu. Penseriez-vous que si l’abbé de Cabrières prend le capuchon, il faut le lui faire prendre à Pâques? Examinez, et le peu que je pourrai sera tout à vous. Je m’en rapporte à votre zèle.

Adieu. Tout à vous de coeur.

E. D’ALZON.

23 fév. 57.

Voyez si des Frères convers vous seraient une économie; j’ai cru devoir en refuser ici, mais j’en ferais chercher.(1)

E.D'ALZON
Notes et post-scriptum
1. Le P. d'Alzon confirme donc par des engagements personnels l'approbation qu'il a donnée à ses tertiaires de prendre en mains le collège. L'enthousiasme les gagne: l'abbé de Cabrières pense devenir religieux; on ne s'est pas encore confronté ni avec la famille d'Alzon, ni avec l'évêque de Nîmes.