Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.286

15 jul 1857 [Paris, SAUGRAIN Hippolyte aa

Directives pour la poursuite de l’oeuvre scolaire en dehors du collège, à Mireman.

Informations générales
  • T2-286
  • 874
  • Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.286
  • Orig.ms. ACR, AK 1; D'A., T.D. 33, n. 11, p. 1.
Informations détaillées
  • 1 ATELIERS
    1 COLLEGE DE NIMES
    1 PRIEURE DE NIMES
    1 RELIGIEUSES DE L'ASSOMPTION
    2 ALZON, FAMILLE D'
    2 BARAGNON, MADAME AMEDEE
    2 BRUN, HENRI
    2 CABRIERES, ANATOLE DE
    2 COUDERC, FELIX
    2 GERMER-DURAND, EUGENE
    2 PICARD, FRANCOIS
    2 PLANTIER, CLAUDE-HENRI
    2 SAUGRAIN, HIPPOLYTE
    3 MIREMAN
  • AU FRERE HIPPOLYTE SAUGRAIN
  • SAUGRAIN Hippolyte aa
  • vers le 15 juillet 1857](1).
  • 15 jul 1857
  • [Paris,
La lettre

Confidentielle.

Cher ami,

Avec la lettre ci-jointe, allez trouver le chanoine Couderc(2). Si vous ne pouvez, envoyez-y Durand. Que l’on traite avec moi directement. Nous nous passerons de l’évêque et de ceux qui ne voudront pas nous aider. Si ma famille ne veut pas céder la maison, nous irons à la fabrique offerte à ces dames ou à Mireman(3). Le P. Picard me dit que Mireman serait vite organisé. Adieu.

E. D’ALZON.

Le P. Brun est, bien entendu, du secret. Mais pourquoi Anatole est-il si faible?(4)

E.D'ALZON
Notes et post-scriptum
3. Il avait été question, en 1855, lors de l'installation des Religieuses de l'Assomption à Nîmes, de l'achat d'une "Fabrique de faïences" en dehors de Nîmes. Il peut être question ici ou des "Dames de l'Assomption", ou de quelques dames Nîmoises, dont Mme Amédée Baragnon (*Lettre* 873).1. Deux lettres du P. Brun font allusion, les 17 et 24 juillet, à un projet de transférer à Mireman ce qui resterait de l'oeuvre du collège après sa fermeture.
2. Parlant du "projet de l'Assomption-Mireman", le P. Brun écrit le 17 juillet: "Il en sera, je pense, comme de tous les autres qui nous ont fait croire deux ans à la conservation de notre pauvre collège. Toutefois, cher Père, s'il ne vous apparaissait pas impossible, il faudrait se hâter".
Le 24 juillet, après avoir fait les démarches suggérées par le P. d'Alzon au Fr. Saugrain, le P. Brun écrit de nouveau: "M. Couderc, dans le projet Mireman, aurait pris la responsabilité matérielle, mais les professeurs laïcs n'en voudraient pas; et il y aurait réellement des impossibilités nombreuses".
3. Il avait été question, en 1855, lors de l'installation des Religieuses de l'Assomption à Nîmes, de l'achat d'une "fabrique de faïences" en dehors de Nîmes. Il peut être question ici ou des "Dames de l'Assomption", ou de quelques dames Nîmoises, dont Mme Amédée Baragnon (*Lettre* 873).
4. L'abbé Anatole de Cabrières.