Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.399

2 feb 1858 [Nîmes, MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse

A propos d’une novice nîmoise et de sa mère. -Il attend sa venue.

Informations générales
  • T2-399
  • 986
  • Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.399
  • Orig.ms. ACR, AD 106; D'A., T.D. 22, n. 479, p. 129.
Informations détaillées
  • 1 MALADIES
    1 PRIEURE DE NIMES
    1 SOINS AUX MALADES
    1 SUPERIEURE
    1 VOYAGES
    2 BOLZE, MADAME SIMEON
    2 BOLZE, MARIE-GERTRUDE
    2 BOLZE, SIMEON
    2 MALBOSC, FRANCOISE-EUGENIE DE
    2 SAINT-JULIEN, MARIE-GONZAGUE
  • A LA R. MERE MARIE-EUGENIE DE JESUS
  • MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse
  • le 2 février 1858](1).
  • 2 feb 1858
  • [Nîmes,
La lettre

Ma chère fille,

Je ne veux que vous dire un mot. une demi-heure après avoir reçu la lettre de Soeur M.-Gertrude(2), j’ai vu M. Bolze, qui prend les choses autrement que ne le dit sa chère moitié; il s’en rapporte à ce qu’elle et vous déciderez. Dans ce que dit Mme B[olze], il n’y a donc que ce qu’elle dit et ce qu’elle fait dire à son mari. Je vous conjure de laisser Louise où elle est. Songez à ce que serait le prieuré, si Mme Bolze s’y installait, et elle s’y installerait. En vous disant que le 15 était un peu tard pour venir, je pensais au 15 mars, je ne sais pourquoi(3).

Venez-nous, quand vous pourrez, et soignez-vous. Le temps pourtant se remet au beau.

E. D'ALZON.
Notes et post-scriptum
1. Le P. d'Alzon répond à une lettre de la Mère, du 30 janvier.
2. Le ms porte par erreur: *Soeur M.-Gonzague*; or, Mère M.-Eugénie annonçait au P. d'Alzon une lettre de Soeur M.-Gertrude. sa mère, Mme Bolze, prétextant à présent d'un incident de santé, argumentait pour faire revenir sa fille à Nîmes, ajoutant que son père était du même avis.
3. Mère M.-Eugénie partira pour installer la nouvelle supérieure du prieuré de Nîmes, le 17 février.