Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.403

20 feb 1858 [Nîmes, PICARD François aa

Lettres pour les ordinations. -Renvoi de deux diurnaux sur trois.

Informations générales
  • T2-403
  • 990
  • Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.403
  • Orig.ms. ACR, AE 37; D'A., T.D.25, n.38, p.37.
Informations détaillées
  • 1 BREVIAIRE ROMAIN
    1 ORDINATIONS
    1 ORDO ROMAIN
    1 PROPRE DE ROME
    2 GALABERT, VICTORIN
    2 MABILE, JEAN-PIERRE
    2 MILLERET, MARIE-EUGENIE
    2 MORLOT, FRANCOIS-NICOLAS
    2 NANQUETTE, JEAN-JACQUES
    2 PERNET, ETIENNE
    2 SERRE, JEAN-BAPTISTE
    2 VAILHE, SIMEON
    3 MANS, LE
    3 PARIS
  • AU FRERE FRANCOIS PICARD
  • PICARD François aa
  • vers le 20 février 1858](1).
  • 20 feb 1858
  • [Nîmes,
La lettre

Cher ami,

J’écris en toutes lettres le nom de l’évêque du Mans, l’abbé Serre me met l’archevêque de Paris(2). Ma lettre à Mgr Nanquette arrangera tout, à moins que vous ne préfériez attendre Mgr de Versailles, qui vous ordonnera tout ce que vous voudrez et qui vous voudrez, présenté par moi.

Je vous demande trois diurnaux avec le propre de Rome. Vous m’en envoyez deux sans [le] propre de Rome. Aussi ils vous reviendront et par la première occasion, et vous m’en renverrez trois avec le propre de Rome, édition 1857, si je ne me trompe, enfin comme celui de Pernet.

Adieu. Tout vôtre. Les ordos sont-ils arrivés?(3)

E. D'ALZON.
Notes et post-scriptum
1. Nous croyons devoir préciser la date avancée par le P. Vailhé: *mars 1858*; car c'est par Mère M.-Eugénie de Jésus que les diurnaux, dont ii est question dans cette lettre, devaient être apportés au P. d'Alzon. Or, la Mère quitte Paris le 17 février.
2. L'abbé Serre était le secrétaire de l'évêché de Nîmes.
3. Les ordos envoyés de Rome par le P. Galabert arriveront à Paris le 16 mars. Le 20, le P. Picard écrit au P. d'Alzon: "Les trois diurnaux sont achetés, mais il a fallu les prendre brochés et les porter ensuite chez le relieur, sans quoi impossible d'avoir le propre de Rome; c'est ce qui explique les derniers retards". Ce passage ne peut dater la lettre du P. d'Alzon, puisqu'il s'agit de réparer une commission mal faite.