Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.451

• T2-451
• 1037
• Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.451
• Orig.ms. ACR, AE 47; D'A., T.D. 25, n. 48, p. 45.

• 1 CURES D'EAUX
  1 MAISONS D'EDUCATION CHRETIENNE
  1 MALADIES
  1 NOVICIAT DES ASSOMPTIONNISTES
  1 PREDICATION
  1 VOYAGES
  2 BICLET, MARIE-LIGUORI
  2 BRUN, HENRI
  2 CAUSSETTE, JEAN-BAPTISTE
  2 GOUSSET, THOMAS
  2 MENARD, POSTULANT
  2 MILLERET, MARIE-EUGENIE
  2 SAUGRAIN, HIPPOLYTE
  3 ECQUETOT
  3 GENEVE
  3 MONTAUBAN
  3 MONTMORILLON
  3 NIMES
  3 PARIS
  3 RETHEL
  3 TOULOUSE
• AU PERE FRANCOIS PICARD
• PICARD François aa
• 16 mai [18]58.
• 16 may 1858
• Lamalou,

Cher ami,

Vous savez si je meurs d’envie d’aller à Paris, mais mon absence prolongée n’est-elle pas nuisible à Nîmes? Je ne vais du côté de Toulouse qu’à cause du P. Caussette. Si je vais là, il me paraît difficile d’aller plus loin. Si toutefois Mme la supérieure le croit nécessaire, je ferai une fugue. Qu’on m’écrive à Montauban. Je prie bien pour Soeur M.-Liguori.

Les propositions du cardinal(1) sont celles que j’eusse voulues. Ainsi, de ce côté, on peut traiter, et, si l’on peut s’arranger pour avoir Rethel cette année et Montmorillon dans trois ans, il me semble que tout pourrait s’arranger. Les novices seront entièrement séparés des professeurs dans le futur noviciat. Nous prendrons pour une cloison une porte du grand dortoir. Je ne puis rien dire pour M. Ménard(2); je m’en rapporte à vous. Ce que vous aurez fait sera bien fait.

Adieu. Je pars demain et suis un peu pressé. Les eaux m’auront fait du bien, mais je souffre des dents. Je vous embrasse.

E. D’ALZON.

J’approuve l’idée d’Ecquetot(3), surtout si le P. Brun peut s’y former un peu. Dites au P. Hippolyte de bien l’avertir à cause de Genève, où il ne faut pas qu’il fasse fiasco.