Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.560

14 nov 1858 Nîmes. MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse

Sa présence à Nîmes lui semble toujours nécessaire. -Il cherche à lui procurer de l’argent pour ses constructions.

Informations générales
  • T2-560
  • 1142
  • Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.560
  • Orig.ms. ACR, AD 1156; D'A., T.D. 22, n. 533, pp. 185-186.
Informations détaillées
  • 1 ASSOCIATIONS OEUVRES
    1 COLLEGE DE NIMES
    1 GUERISON
    1 IMMEUBLES
    1 JARDINS
    1 PENSIONNAIRES
    1 PRIEURE DE NIMES
    1 RESSOURCES FINANCIERES
    1 SOCIETE DES ACTIONNAIRES
    2 BOLZE, MADAME SIMEON
    2 BOLZE, MARIE-GERTRUDE
    2 CHAUVAT, MARIE-GENEVIEVE
    2 COIRARD, MIRRA
    2 SHAW, MARIE-WILFRID
    2 VARIN D'AINVELLE, MADAME J.-B.-FELIX
    3 NIMES
    3 PERPIGNAN
  • A LA R. MERE MARIE-EUGENIE DE JESUS
  • MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse
  • le 14 novembre 1858.
  • 14 nov 1858
  • Nîmes.
  • Evêché de Nîmes
La lettre

Ma chère fille,

Votre présence ici me semble toujours plus utile. Si donc votre gorge vous le permet, arrivez-nous(1). Les constructions, le jardin, la direction des enfants, Soeur M.-Geneviève que je crois pourtant avoir un peu remontée, l’avenir de quelques associations que je voudrais grouper autour de l’Assomption, tout cela me préoccupe. Si toutefois vous ne pouvez venir avant le 1er décembre, dites-le moi; j’irai passer quelques jours du côté de Perpignan, où je suis réclamé et où les membres de la commission de l’Assomption me demandent d’aller.

Je crois que Mlle Coirard vous attend pour vous remettre 15.000 ou 16.000 francs au 5%. Je cherche à vous trouver diverses petites sommes et j’espère en venir à bout. Vos constructions avancent et j’espère que vous serez contente. Je vais après-demain passer vingt-quatre heures chez Mme Varin.

Adieu, ma fille. Voilà une lettre de Soeur M.-Wilfrid. Tout vôtre en Notre-Seigneur.

E. D’ALZON.

Mme Bolze voudrait bien que vous prissiez Soeur M.-Gertrude avec vous; je ne sais que vous dire.

E.D'ALZON
Notes et post-scriptum
1. Le 17 novembre, Mère M.-Eugénie annonce au P. D'Alzon qu'elle sera à Nîmes le 19, "pour une quinzaine de jours".