NEUVAINE SUR LA COMPASSION DE LA SAINTE VIERGE (1870).

Informations générales
  • TD45.153
  • NEUVAINE SUR LA COMPASSION DE LA SAINTE VIERGE (1870).
  • Compassion. V - Séparation.
  • Orig.ms. CR 125; T.D. 45, p. 153.
Informations détaillées
  • 1 COMPASSION DE LA SAINTE VIERGE
    1 ENFANTS
    1 FAMILLE
    1 VIE DE SACRIFICE
    1 VIE PUBLIQUE DE JESUS-CHRIST
    2 DANTON
  • septembre 1870
  • Nîmes
La lettre

Vient le temps de la vie apostolique du Sauveur. – Marie voit son Fils s’éloigner d’elle. – Mystère! Marie n’avait qu’un Fils. – Elle commence à Le donner!

Séparation d’avec les vôtres. – Séparation, si Dieu vous les demande.

Il faut examiner, sans doute, mais pas toujours trop. Autrefois on consacrait son fils à Dieu, quand on n’avait pas peur de voir les familles se multiplier; – Quand on n’avait pas l’idolâtrie des enfants, on les donnait.

L’ancienne noblesse donnait toujours la première par son sang! Et cette habitude de voir des familles dévouées à verser leur sang sur le champ de bataille, relevait le niveau de la nation. – On savait se séparer! – Une jeune personne savait qu’elle devait s’attendre à être veuve de bonne heure!

Aujourd’hui, ce n’est plus cela. – On veut ses enfants pour soi.

Danton disait que les enfants appartiennent à l’Etat avant d’appartenir à leurs parents.

Notes et post-scriptum