[Cahier de notes pour sermons et conférences, vers 1873]

Informations générales
  • TD52.319
  • [Cahier de notes pour sermons et conférences, vers 1873]
  • [2] Les deux cités.
  • Orig.ms. BX1, pp. 5-8; T.D. 52, pp. 319-320.
Informations détaillées
  • 1 CHAIR
    1 CHARITE ENVERS DIEU
    1 CITE
    1 CORRUPTION
    1 COURS PUBLICS
    1 EMPIRE DE SATAN
    1 ENNEMIS DE DIEU
    1 SERMONS
    1 SOUVERAINETE DIVINE
    2 MANES
  • après 1873
La lettre

Et populus non est reversus ad percutientem se. Isaïe, VIII.

Quod itaque diximus, hinc extitisse civitates duas diversas inter se et contrarias, quod alii secundum carnem, alii secundum hominem, alii secundum Deum vivant. – S. Augustin.

Cum enim inter vos sint aemulatio et contentio, nonne carnales estis, et secundum hominem ambulatis. I Cor., III, 3.

Arbitrium voluntatis tunc est vere liberum, cum vitiis peccatisque non servit. S. Augustin.

Si vos Filius liberaverit, vere liberi eritis. Joan., VIII, 36.

Proinde peccatores et angeli et homines nihil agunt, quo impediantur magna opera Domini. S. Augustin.

Qui providenter atque omnipotenter sua cuique distribuit, non solum bonis sed etiam malis bene uti novit. S. Augustin.

Les deux cités – Deux principes ont toujours lutté – L’exagération de ce principe a produit le manichéisme, mais la vérité est que Dieu permet que le démon ait une certaine puissance.

Mais remontons. – Les deux principes: la volonté corrompue par le péché; la volonté réparée par Jésus-Christ; la volonté qui se débilite sans le secours de Dieu.

Deux cités. – Ceux qui sont les ennemis de Dieu, ceux qui sont ses amis.

Que sont les ennemis, que sont les amis? Alii secundum hominem alii secundum Deum vivunt. – S. Augustin.

Qu’est-ce que vivre selon la chair ou selon l’homme?

Mais Dieu n’est pas le maître? Peccatores et angeli et homines nihil agunt, quo impediantur magna opera Domini. – En effet, qui providenter atque omnipotenter sua cuique distribuit, non solum bonis, sed malis bene uti novit.

Illa in seipsa, haec in Domino gloriatur.

La barrière est posée par l’orgueil et la sensualité, d’une part, par l’humilité et l’amour de Dieu, de l’autre.

Notes et post-scriptum