- Procès-verbaux des réunions du Tiers-Ordre féminin de l'Assomption
- Registre 1854-1857
21 à 23. Séances des 4 et 18 mai et du 1er juin 1855 - CE 18, p.47-55.
- 1 AMOUR DIVIN
1 AMOUR FRATERNEL
1 AMOUR-PROPRE
1 CHARITE DE MARIE
1 COMPASSION DE LA SAINTE VIERGE
1 DOUCEUR
1 ESPERANCE
1 EXTENSION DU REGNE DE JESUS-CHRIST
1 HUMILITE
1 HUMILITE DE LA SAINTE VIERGE
1 MOIS DE MARIE
1 ORAISON
1 OUBLI DE SOI
1 TIERS-ORDRE FEMININ
1 ZELE APOSTOLIQUE
2 ALLEMAND, MADAME
2 AMALRIC, MARIE
2 ARGILLIER, LEONTINE
2 BEUF, BLANCHE
2 BOLZE, MADAME SIMEON
2 BOLZE, MARIE-GERTRUDE
2 BOYER, MADAME EDOUARD
2 CABRIERES, ANATOLE DE
2 COIRARD, MIRRA
2 COMBIE, JULIETTE
2 COMBIE, MARIE-CATHERINE
2 CONTE, MADEMOISELLE
2 FABRE, JOSEPHINE
2 GERMER-DURAND, MADAME EUGENE
2 REGIS, EULALIE DE
2 REVEILHE, MADAME
2 ROUSSELIER, MADEMOISELLE H.
2 SAUVAGE, MADAME EUGENE-LOUIS
3 NIMES - Tertiaires de l'Assomption
- Tertiaires Dames
- 4 et 18 mai et 1 juin 1855
- 1855
- Nîmes
[21] Réunion du 4 mai 1855.
Soeurs présentes à la réunion sous la présidence du Père d’Alzon supérieur.
Mlle de Régis, Mlle Coirard, Mme Bolze, Mlle Conte, Mme Durand, Mme Sauvage, Mlle L. Combié, Mlle J. Combié, Mme Boyer, Mlle Fabre, Mme Réveilhe, Mlle Rousselier, Mme Allemand, Mlle Louise Bolze, professes. Mlle Argilier, Mlle Beuf, Mlle Amalric, novices.
Instruction de Mr l’abbé de Cabrières sur l’oraison.
[suit le compte rendu de cette instruction: p.47-49 du cahier].
Le Père supérieur a ajouté ensuite quelques mots pour engager les soeurs à chercher les moyens de s’unir entre elles, plus qu’elles ne l’ont fait jusqu’à présent, par ces liens de charité qui seraient si utiles à leurs âmes si elles savaient les resserrer. Si l’on s’est engagé dans le T.O. afin de travailler plus efficacement à l’extension du règne de J.C. dans les âmes, ne doit-on pas surtout chercher à étendre ce règne dans les âmes qui nous sont unies par une fraternité plus étroite? Peut-on se rendre le témoignage que l’on a fait tout ce que l’on pouvait pour l’âme de ses soeurs? – S’il y a encore certaines froideurs, certaines réserves, qui empêchent le feu de la Charité de s’étendre et de se communiquer à quoi faut-il l’attribuer? N’est-ce pas à l’orgueil, à cet amour propre subtil qui s’arrête, qui s’écoute, et qui fait que le coeur se replie et se resserre en lui-même. Si l’on mettait de côté toute susceptibilité, si l’on s’oubliait un peu plus soi-même, on saurait bientôt parler aux autres et gagner des coeurs à J.C. – Que les soeurs du T.O. méditent un peu pendant ce mois de Marie sur la Charité de la Ste Vierge, sur cette Charité qui a sa source dans son humilité. Si la Ste Vierge a été choisie de Dieu pour être la mère de son Fils, et pour participer ainsi plus qu’aucune autre créature au mystère de la Rédemption, qui est le mystère de la Charité de Dieu, c’est que Marie a été la plus humble des créatures, et qu’elle s’est toujours comptée pour rien.
[22] Réunion du 18 mai 1855.
Sont présentes à la réunion:
Mlle de Régis, Mlle Coirard, Mme Bolze, Mme Durand, Mme Sauvage, Mlle J. Combié, Mlle Fabre, Mlle Rousselier, Mme Allemand, Mlle L. Bolze, professes.
Mlle Argilier, Mlle Beuf, Mlle Amalric, n[ovices].
Instruction de Mr l’abbé de Cabrières sur l’humilité.
[23] Réunion du 1er juin 1855.
Sont présentes à la réunion:
Mlle Coirard, Mme Bolze, Mme Durand, Mme Sauvage, Mlle Louise Combié, Mme Boyer, Mlle Fabre, Mme Allemand, Mlle L. Bolze, professes. – Mlle Argilier, Mlle Boeuf, Mlle Amalric, novices.
Instruction de Mr l’abbé de Cabrières sur la douceur envers soi-même fondée sur la confiance en Dieu.
[en suit le compte rendu: p.53-55 du cahier].