- Procès-verbaux des réunions du Tiers-Ordre féminin de l'Assomption
- Registre 1854-1857.
36 et 37. Séances des 14 et 28 décembre 1855 - CE 18, p.77-79.
- 1 APOSTOLAT DE LA CHARITE
1 CONTRARIETES
1 EDUCATION EN FAMILLE
1 ENFANCE DE JESUS-CHRIST
1 GLOIRE DE DIEU
1 HUMILITE
1 MERE DE FAMILLE
1 ORAISON
1 PRIEURE DE NIMES
1 REGLE DU TIERS-ORDRE
1 SALUT DES AMES
1 TIERS-ORDRE FEMININ
1 VIE DE PRIERE
2 ALLEMAND, MADAME
2 AMALRIC, MARIE
2 BOLZE, MADAME SIMEON
2 BOLZE, MARIE-GERTRUDE
2 BOSSUET
2 COIRARD, MIRRA
2 COMBIE, JULIETTE
2 CONTE, MADEMOISELLE
2 FABRE, JOSEPHINE
2 GERMER-DURAND, MADAME EUGENE
2 HOWLY, MARIE-WALBURGE
2 MILLERET, MARIE-EUGENIE
2 NARBONNE-LARA, MADAME DE
2 REGIS, EULALIE DE
2 ROUSSELIER, MADEMOISELLE H.
2 SAUVAGE, MADAME EUGENE-LOUIS
3 NIMES - Tertiaires de l'Assomption
- Tertiaires Dames
- 14 et 28 décembre 1855
- dec 1855
- Nîmes
[36] Réunion du 14 décembre 1855.
Soeurs présentes à la réunion sous la présidence de la Mère Marie-Eugénie de Jésus, supérieure générale de l’ordre:
Mme de Narbonne, Mlle de Régis, Mlle Coirard, Mlle Conte, Mme Bolze, Mme Durand, Mme Sauvage, Mme Allemand, Mlle Bolze, Mlle Combié, Mlle Rousselier, professes. – Mlle Amalric, novice.
Après la récitation de l’office, Madame la Supérieure adresse aux soeurs du T.O. quelques questions sur les bonnes oeuvres dont quelques-unes des soeurs sont chargées, elle les encourage à s’en occuper avec un esprit de charité et d’humilité qui leur fasse supporter et accepter toutes les contrariétés et tous les mécomptes qu’elles pourront y rencontrer. – Elle fait comprendre à celles qui ne peuvent s’occuper de bonnes oeuvres extérieures qu’elles peuvent bien remplir leurs droits de Tierçaires et aider beaucoup leurs soeurs en priant intérieurement, en développant en elles l’esprit d’oraison, de sorte qu’elles pourront offrir à Dieu leur travail et les occupations les plus ordinaires de leur état en vue du salut des âmes et de la gloire de Dieu. Le premier devoir de zèle d’une mère de famille est, ainsi que la règle l’indique, l’éducation chrétienne de ses enfants. Ce serait donc manquer à l’esprit de l’ordre que de négliger ce devoir pour s’occuper d’autres choses moins nécessaires. – Il faut des efforts pour suivre la règle et en accorder les obligations avec les exigences de sa position, mais c’est là que doit être la vertu des soeurs du T.O. et avec de la bonne volonté on peut y parvenir.
[37] Réunion du 28 décembre 1855.
Soeurs présentes à la réunion sous la présidence de Soeur Marie-Walburge, supérieure de la maison de Nîmes. – Mlle de Régis, Mlle Coirard, Mlle Conte, Mme Bolze, Mme Durand, Mlle Fabre, Mme Sauvage, Mme Allemand, Mlle Combié, Mlle Rousselier, professes. – Mlle Amalric, novice.
Les Soeurs font une lecture sur les mystères de l’enfance de Notre-Seigneur dans les élévations à Dieu de Bossuet.